Amber Head demande une expertise de la santé mentale de son ex-mari Johnny Depp
Suivez nous sur Google News
Le bras de fer judiciaire continue entre Amber Head et son ex-mari Johnny Depp. La jeune femme a demandé au tribunal d’effectuer une évaluation de la santé mentale de l’acteur. Elle affirme que la drogue et l’alcool ont considérablement changé son ex-compagnon.
Une expertise mentale demandée par l’ex-femme de Johnny Depp
Amber Head est persuadée que le comportement de son ex-conjoint s’est détérioré avec sa consommation d’alcool et de stupéfiants. Ces éléments pourraient avoir une corrélation avec les abus dont elle a été victime. De plus, elle a déclaré dans plusieurs documents juridiques :
« Le rapport à la réalité de Johnny dépend de sa consommation d’alcool et de drogue. […] Tandis que la paranoïa de Johnny, ses idées délirantes et son agressivité augmentaient au fil de notre relation, ma prise de conscience de sa dépendance à la drogue augmentait également » .
Ces affirmations ternissent grandement l’image de l’acteur mais sont nécessaires pour se faire soigner.
>>> À lire aussi : Lily-Rose Depp torride en bikini string : elle enflamme la Toile
Une bataille juridique est enclenchée
Si les déclarations d’Amber Head semblent vouloir aider son ex Johnny Depp; les avocats de l’acteur ne sont pas du tout d’accord. Ils n’ont pas mis très longtemps avant de riposter aux déclarations de l’actrice. Pour eux, ces propos étaient de l’ordre du privé et ne devaient en aucun cas, être divulgués dans une Cour juridique.
L’état mental de l’acteur n’a aucun lien avec ce qui s’est passé entre les ex-époux dans le passé. De plus, Johnny Depp affirme ne souffrir d’aucun trouble quelconque. Les avocats de la partie adverse ont déclaré : « Il s’agit d’une affaire de diffamation dans laquelle M. Depp proclame qu’il ne souffre pas de troubles ou de troubles mentaux. Ainsi, l’état de M. Depp n’est pas ‘controversé’ et il n’existe aucun motif valable pour faire un EMI (Electromagnetic Interference) à M. Depp » .
Johnny Depp réclame la somme de 50 millions de $ de dédommagement pour diffamation. Une affaire juridique qui n’est pas prête de se clôturer.
