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Abandonnée par ses parents, elle n’a jamais eu la chance de connaitre son père… Jusqu’à ce que Facebook intervienne !

Publié par Flavien le 25 Jan 2020 à 20:30
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Grâce à l’algorithme Facebook, une femme a retrouvé son père, perdu depuis 56 ans. Une fabuleuse histoire qui débute par une suggestion d’ami.

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Poke. Ah les joies de Facebook, ses statuts intéressants : « Je me sens pas bien » , ses commentaires bienveillants : « Comment elle est trop moche sur la photo » , mais aussi ce pote qui ne peut s’empêcher de t’identifier dans toutes les vidéos de bouffe qu’il trouve. Mais certaines histoires rendent foi en l’humanité des réseaux sociaux.

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

Karin Haris a aujourd’hui 56 ans. Lors de sa naissance en 1964, ses parents décident de la faire adopter. À l’âge de 18 ans, un travailleur social lui donne le nom de son père : Trevor Linden. Ses efforts pour le retrouver sont toujours restés en vain, jusqu’à ce que la magie de Facebook s’en mêle. Un jour, Karin reçoit une notification « suggestion d’ami » d’un certain Trevor Linden, 72 ans. « Je savais que j’avais un enfant mais pas le sexe » avoue Trevor. Il poursuit : « J’ai tout de suite vu la ressemblance avec mes trois autres filles, je pouvais voir qu’elle était ma fille ».

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« Sans Facebook, nous ne nous serions pas rencontrés »

Karen n’en revient toujours pas : « Les enfants adoptés comprennent le moment où vous voyez pour la première fois quelqu’un d’autre que vous même dans un miroir avec vos pommettes, vos yeux et votre menton » . Leurs retrouvailles sont naturelles, comme si ils ne s’étaient jamais quittés : « Sans Facebook, nous ne nous serions pas rencontrés, c’est surréaliste » , admet le père. Une certaine rancoeur aurait pu habiter le corps de Karen, enragée d’avoir été laissée au centre d’adoption par ses parents. Mais il n’en est rien, la joie de retrouver son paternel est plus forte qu’une quelconque aigreur. Retrouver son père grâce à Facebook aurait pu être un formidable scénario de film, mais la réalité a dépassé la fiction. Comme quoi, pas besoin d’être dans un film pour être l’acteur de sa vie.

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