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Fornication et adultère seraient les causes du coronavirus d’après le frère de Tariq Ramadan !

Publié par Jessy le 22 Mar 2020 à 18:10
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Depuis des mois, les médias ne parlent que de ça : le coronavirus. Alors que de nombreux scientifiques et spécialistes s’attellent à trouver un remède pour stopper le virus, certains religieux y vont de leur propre idée pour expliquer l’arrivée du coronavirus sur la terre. Hani Ramadan, le directeur du Centre islamique de Genève a donné son explication quant à la pandémie de coronavirus dont le monde est victime.

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Les péchés des hommes sont la cause du virus qui frappe le monde entier !

Il y a peu de temps, beaucoup de leaders religieux avaient annoncé que le coronavirus était présent pour purger la communauté LGBT de la terre. Des annonces qui n’ont finalement pas eu beaucoup d’impacts aux yeux des citoyens du monde entier. Mais un nouvel argument se met en place. Hani Ramadan, le frère de Tariq Ramadan, a annoncé que les péchés des hommes ont provoqué la colère de Dieu, comme le rapporte Le Point. Pour lui, le fait que « les hommes se livrent ouvertement à la turpitude, comme la fornication et l’adultère, ce qui déclenche des maladies et des épidémies nouvelles » , comme le coronavirus actuellement.

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Hani Ramadan, l’habitué des provocations !

Hani Ramadan n’est pas à sa première provocation. Outre le fait de rapprocher la « fornication » à la nouvelle épidémie qui touche le monde entier, ce dernier a déjà publié une tribune dans Le Monde, « La charia incomprise » , en septembre 2002. Une tribune dans laquelle l’homme définit la lapidation comme « une forme de purification » , et que « seuls s’exposent à la contamination ceux qui ont un comportement déviant » , en parlant du sida. Licencié de son poste de prof de français et du journal, ce dernier a été privé de séjour en France en avril 2017, après plusieurs provocations. « On ne me musellera pas. Je continuerai ma lutte antisioniste, une lutte qui n’a rien à voir avec l’antisémitisme dont vous m’accusez » avait-il alors annoncé.

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