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Un homme vit dans une cabine téléphonique depuis qu’il a perdu son travail et sa maison

Publié par Nicolas F le 18 Fév 2018 à 9:11
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Les riverains se sont pris d’affection pour un SDF qu’ils aperçoivent tous les jours quand ils vont faire leurs courses. Stephen, 42 ans, vit dans un endroit confiné. Il se blottit dans une cabine téléphonique avec quelques couvertures, afin de ne pas mourir de froid. Regardez dans la vidéo comment l’homme a eu l’idée d’utiliser la cabine pour s’en faire un refuge.

 

Son abri a attiré l’attention des passants

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Cela fait 4 mois que Steven Pope utilise la cabine téléphonique située devant l’Aldi de Bordesley Green, à Birmingham. Les passants sont à la fois impressionnés par son abris et touchés par la misère dans laquelle il doit survivre face au froid. Cet homme qui ne reçoit aucune aide de l’État, reçoit néanmoins quelques sourires et quelques sandwiches. Depuis que son abri de fortune a été remarqué et que la presse locale en a parlé, une association est venue à sa rencontre.

 

Il n’a plus de famille ni de travail

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Il bénéficie maintenant de l’aide d’une association pour sans-abri de Birmingham, qui lui apporte des soupes et de l’aide médicale. Depuis que son histoire a été médiatisée, même les conseillers municipaux viennent lui apporter des repas et des couvertures supplémentaires. Cet ancien ouvrier du bâtiment est à la rue depuis 4 ans. Ils vivaient au début avec ses parents, mais ils sont morts au même moment où il a perdu son travail. La maison lui a été reprise.

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Il est touché par les attentions qui se multiplient

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« C’est une vie de misère, de vivre dans une cabine téléphonique. Il peut y faire si froid la nuit, mais elle me permet d’avoir un abri contre le vent et la pluie. Et je peux garder quelques affaires au sec », explique Stephen. « Chaque nuit, je dors ici et me blottis dans des couvertures que je coince, en attendant que la matinée arrive. » Il a aussi voulu faire savoir qu’il était touché par les attentions des gens qui l’apercevaient. Ce sont eux qui sont allés le déclarer auprès de l’association qui tente aujourd’hui de l’aider.

Crédits : Birmingham Mail/BPM Media

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