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Le dérapage d’une journaliste de BFM TV qui n’aurait jamais du être diffusé… (vidéo)

Publié par Mélaine le 25 Sep 2018 à 11:55
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Aaah les joies du direct. On connaît les frasques et les fous rires. Mais quand une chaîne d’information comme BFMTV passe en direct et qu’une présentatrice dérape, ça donne un moment mémorable.

 

BFMTV : aboule la thune

Il faut remettre en condition. BFMTV, quoi qu’on en pense, ce sont des journalistes qui travaillent non-stop. Et, généralement, sur des sujets qui ne prêtent pas à rire. Alors, imaginez-vous que sur le plateau, le présentateur, Nicolas Doze, étriqué dans son costume, prend l’antenne pour sa chronique éco, entouré d’autres présentateurs. Sauf que voilà. Eux, d’argent, ils en parlent sans cesse. Et pour une fois, une présentatrice, supportée par ses collègues, se permet une phrase que tout le monde pense.

 

Quand le présentateur de la rubrique économie explique que pour voir le pouvoir d’achat augmenter « il faudra être patient, il faudra globalement attendre l’automne prochain. » il peine a finir sa phrase, coupé par ses confrères et consœurs. L’un d’entre eux rappelle que « ça fait 50 ans qu’on est patient » une autre estime que « ça suffit là ! Wow ! Aboule la thune !« .

Une scène très rare chez BFMTV.

 

BFMTV : dans l’cul

Quelques instants après, trois minutes plus tard exactement, elle récidive. Alors que le présentateur explique que certains connaîtront effectivement un gain de pouvoir d’achat, d’autres eux, non. Ceux qui vont y gagner ? Les salariés, les 300 000 retraités les plus modeste et 80% des foyers qui paieront moins de taxe d’habitation. Les grands perdants ? Les (autres) retraités, ceux qui roulent au diesel et les fumeurs … Et ceux-ci, selon le présentateur, « prendront cher …« . Là, on se dit que c’est fini. Alors, en régie, on lance le générique de fin. Jusqu’à ce que la présentatrice continue la phrase de son collègue à micro, malheureusement pour elle, ouvert.

 

Elle lance donc un simple et tout aussi radical : « dans l’cul« . Oui, certains prendront cher … dans l’cul.

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