Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Faits divers

Le médecins regardait des images de viols d’enfants : il a osé se défendre de la pire des manières

Publié par Manon CAPELLE le 10 Juil 2020 à 18:25
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Un anesthésiste de Jonzac comparaissait devant la justice pour des faits de détention d’images pédopornographiques. Il a assuré devant le juge qu’il regardait uniquement l’esthétisme dans les images en question.

anesthésiste détention images pédopornographiques

>>> À lire aussi : La Poste : les habitants de ce village vivent un véritable enfer

Cet anesthésiste condamné pour détention d’images pédopornographiques

Jean-André Cuot comparaissait ce jeudi 9 juillet pour détention d’images pédopornographiques. L’anesthésiste a été condamné à un an de prison avec sursis. 

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

La saisie de ses ordinateurs avait révélé que l’anesthésiste de 65 ans avait consulté à 14 873 reprises des sites spécialisés à l’aide de mots-clés très équivoques, entre 2016 et 2017.

Durant son procès, il n’a émis aucun regret bien qu’il mâchait ses mots devant le tribunal. Ses mots sont loin de ceux d’un repenti. En garde à vue, il avait déjà indiqué qu’il regardait ces images comme on admire une belle voiture ou un tableau.

>>> À lire aussi : Choc : un requin s’approche trop près du rivage et sème la panique!

Un collègue de Joël Scouarnec

Aussi, il a assuré au juge qu’il ne cherchait que l’esthétisme dans les photos montrant des mineurs en train de se faire violer. De surplus, il a indiqué que certaines photos étaient des « pop-up » qui se seraient inopinément affichés sur son écran. Il s’est d’ailleurs défendu en indiquant : « Je ne cherchais pas en dessous de 14 ans. » 

Abonnez vous à la Newsletter TDN

Jean-André Cuot était également un collègue de Joël Le Scouarnec, un médecin accusé de 350 viols sur des patients. De son côté, Jean-André Cuot affirme que leur relation est simplement professionnel.

Son avocat avait même parlé d’un lynchage médiatique, qui lui avait valu son licenciement. Pourtant, c’est la consultation de 15 000 fichiers pédopornographiques qui est à l’origine de son procès.

>>> À lire aussi : Elle couchait avec son élève de 12 ans puis l’a épousé : cette célèbre professeure est décédée

Source : RTL