Choc : Xavier Dupont De Ligonnès n’aurait pas tué que 5 personnes…
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C’est sans aucun doute le magazine le plus attendu de cette année. La deuxième partie de Society promet « 99% de déclarations » et notamment sur le fait que Xavier Dupont de Ligonnès qui n’aurait pas tué que 5 personnes, mais bien plus.
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Une deuxième partie révélatrice
La première partie a littéralement fait l’effet d’une bombe. En effet, alors que des centaines et des centaines de reportages, livres, documentaires, etc. sont sortis sur Xavier Dupont de Ligonnès, celui promis par Society était très attendu.
En effet, le magazine avait alors modestement titré « ce que vous n’avez jamais lu ». Et évidemment, certains ont eu un peu de mal à croire que l’enquête ne serait faite que d’informations inédites.
Et pourtant après un long travail d’enquête de 4 ans, quatre journalistes ont sorti une enquête à couper le souffle. Franck Anesse était invité d’Europe 1 pour parler de cette seconde partie et a fait de grosses révélations. « Autant sur la première partie on était obligé de redonner les grandes lignes de l’affaire […] autant toute la deuxième partie… Je pense que tout ce qui a été produit aujourd’hui sur Xavier Dupont de Ligonnès s’arrête à notre première partie. Toute la deuxième partie, c’est 99% de neuf, de révélations.”
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Un tueur né ?
Franck Annese promet par ailleurs des “révélations sexuelles.” “On suit vraiment l’enquête. On comprend qui sont les différents suspects de complicité, on apprend aussi quelque chose d’assez fort : Xavier Dupont de Ligonnès ne s’est pas contenté de tuer cinq personnes, il a fait plus de mal que cela. Des proches ont énormément souffert jusqu’à se suicider. Il y a des dommages collatéraux très forts ».
Avant de conclure : » Nous, on fait notre rôle de journalistes, on cherche à faire avancer l’enquête autant qu’on peut mais nous ne sommes pas policiers, nous n’avons pas le pouvoir de justice. Quand on a des pistes, des témoins, on creuse, mais à un moment on ne peut plus creuser, on ne va pas enfermer les gens dans une cave et les forcer à nous parler.”
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