Viol de Flavie Flament : accusé, le photographe David Hamilton sort de son silence
Comme vous le savez, depuis quelques jours maintenant, la planète people est en émoi autour de l’histoire de Flavie Flament. En effet, la jeune femme vient de sortir un livre confession dans lequel elle confie avoir été violée à l’âge de 13 ans. Et ce, par un photographe aujourd’hui âgé de 83 ans. À plusieurs reprises, Flavie Flament a expliqué qu’elle ne pouvait pas donner le nom de son bourreau. En effet, à cause du délais de prescription, elle ne peut citer son nom sans risquer d’être poursuivie pour diffamation.
Mais alors qu’elle présentait son livre dans « Salut les Terriens », Thierry Ardisson lui a cité un nom (voir la scène ICI). Ce n’est pas Flavie qui a cité ce nom mais bien Ardisson. Mais elle n’a pas nié. L’émission n’étant pas en direct, le nom a été bippé au montage. Mais très vite, des rumeurs sur le photographe David Hamilton sont nées. Sa page Wikipédia a même été modifiée dans ce sens. Jusqu’à lors, le photographe âgé de 83 ans était resté silencieux. Mais il a finalement pris la parole.
Et il s’est exprimé auprès du site belge Sudinfo.
« J’ai pris connaissance des propos diffamatoires circulant à mon sujet depuis plusieurs jours dans certains médias, en ce compris sur des réseaux sociaux. Des journalistes n’ont pas hésité à rapporter d’abominables diffamations, nées d’insinuations et/ou interprétations formulées par l’une ou l’autre personne, anonyme ou non, à l’occasion de la promotion d’un ouvrage au sujet duquel aucun de ces journalistes n’a relevé que ledit ouvrage se présente sur sa seconde couverture comme étant un roman, à savoir une œuvre de fiction.
Je suis indigné l’absence totale de respect de ma présomption d’innocence et par la volonté à peine dissimulée de certains de s’ériger en juges ou procureurs de la rumeur, si prompts à jeter les pires suspicions à mon égard, sans ne rien chercher d’autre que le scandale, afin de poursuivre leurs noirs desseins . Oui, je me réserve le droit le plus absolu de diligenter, en temps voulu, toutes les actions utiles et nécessaires à la défense de mon honneur et de ma réputation, ainsi qu’au respect de la déontologie journalistique la plus élémentaire. Sachez que je ne commenterai plus amplement les comportements criminels qui me sont imputés par certains et desquels je n’ai jamais été l’auteur. »