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Karine Le Marchand : son gros coup de gueule pour libérer la parole sur la sexualité féminine !

Publié par Leslie le 07 Juil 2019 à 10:33
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Karine Le Marchand en a juste ras le bol. L’animatrice TV a décidé de le faire savoir en postant un long message sur son compte Instagram. Elle est en effet lassée de toutes ces insinuations concernant sa vie personnelle.

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Karine Le Marchand fatiguée des critiques à son sujet

Karine Le Marchand est connue pour être une femme pétillante et sans tabou. Elle a toujours en réserve une petite blague grivoise et n’a jamais honte de parler sexe. Cependant, face à ce franc-parler et des articles assez nombreux, certains n’hésitent pas à la critiquer et même à prétendre qu’elle a une vie sexuelle très débridée. Des détracteurs qui parlent souvent à tort et sans savoir, ce qui commence fortement a exaspérer l’animatrice préférée des agriculteurs. Elle s’est donc emparée de son clavier pour laisser un long message sur son compte Instagram.

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Je suis fière d’être sociétaire des Grosses Têtes, où depuis plus de 30 ans, notre humour gaulois métissé de connaissance rassemble des millions d’auditeurs. J’y trouve l’occasion de m’amuser, d’exprimer un peu ma culture, et beaucoup ma vision de la femme libre. Avec autodérision et un chouïa de provocation, je réponds à mes collègues masculins lorsqu’ils font croire qu’ils sont misogynes, ou purs consommateurs du sexe des femmes (alors qu’ils sont tous, et Laurent Baffie le premier, d’un profond respect pour la gente féminine). Dans toutes mes émissions depuis 25 ans, l’humour grivois est un mode de communication qui dépasse les âges, les Régions, les origines sociales. Pourtant régulièrement, des articles internet reprennent mes sorties, et insinuent peu à peu que je suis une femme à la sexualité débridée. Jamais ces articles ne reprennent les « saillies » de mes collègues sur la prostitution, la masturbation, la sodomie, etc…Pourquoi? Je suis féministe (inclusive), et je me battrai toujours pour que la liberté que les femmes ont acquise, perdure. Faire passer une femme de 50 ans pour une femme légère (et donc dénuée de profondeur), parce qu’elle parle sans tabou du plaisir féminin, c’est laisser croire que c’est « hors norme ». Et c’est faire le jeu de ceux qui depuis la nuit des temps, frappent, mutilent le clitoris, traitent les femmes de salope dans la rue… Je veux que toutes les jeunes filles puissent regarder leur sexe sans se dire que c’est sale, ou qu’elles sont malades. Je veux que ma fille et toutes les jeunes filles du monde puissent exiger une relation sexuelle où leur plaisir est pris en compte, où l’échange et la tendresse font partie de leur intimité. Alors vous, les pseudos journalistes d’internet, même si mon nom fait cliquer, et vendre de la pub, cessez vos titres choquants, et cessez de relayer des mots qui ne sont jamais vulgaires, s’ils sont parfois volontairement grossiers. Ma vie sexuelle est loin d’être débridée, l’épanouissement est déjà un but. Alors, à ceux qui pondent des articles si pauvres en contenu, sachez au moins que vous faites le jeu de certains hommes qui veulent que la femme soit soumise et se taise. #women

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La mise au point de Karine Le Marchand

Sociétaire des Grosses Têtes, Karine Le Marchand a commencé son message en abordant ce sujet : « J’y trouve l’occasion de m’amuser, d’exprimer un peu ma culture, et beaucoup ma vision de la femme libre. Avec autodérision et un chouïa de provocation, je réponds à mes collègues masculins lorsqu’ils font croire qu’ils sont misogynes, ou purs consommateurs du sexe des femmes ».

Puis d’ajouter : « Dans toutes mes émissions depuis 25 ans, l’humour grivois est un mode de communication qui dépasse les âges, les régions, les origines sociales. Faire passer une femme de 50 ans pour une femme légère (et donc dénuée de profondeur), parce qu’elle parle sans tabou du plaisir féminin, c’est laisser croire que c’est “hors norme”. 

En outre, féministe dans l’âme, elle souhaiterait donner une bonne image de la sexualité féminine : « Je veux que toutes les jeunes filles puissent regarder leur sexe sans se dire que c’est sale, ou qu’elles sont malades. Je veux que ma fille et toutes les jeunes filles du monde puissent exiger une relation sexuelle où leur plaisir est pris en compte, où l’échange et la tendresse font partie de leur intimité. »

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