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Michel Cymes : ses révélations du terrain vont faire hurler ses confrères

Publié par Claire JONNIER le 09 Avr 2020 à 12:05
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Le 26 mars dernier, Michel Cymes est appelé en renfort au sein du service de réanimation de l’hôpital Georges Pompidou à Paris. Et en plein pic du coronavirus, on s’attend forcément à ce que l’animateur décrive un quotidien difficile et des conditions de travail horribles. Mais contre toute attente, c’est l’inverse qui se produit puisqu’il fait des révélations surprenantes qui risquent de faire hurler ses confrères !

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Michel Cymes : appelé sur le terrain

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

Tout avait mal commencé pour Michel Cymes ! Au début de l’épidémie, il parle d’une simple gripette avant finalement, de faire son mea culpa dans l’émission C à vous. Redevenu l’interlocuteur privilégié des Français, il ne cesse d’avertir sur les dangers du traitement à la chloroquine scandé par le professeur Didier Raoult.

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Et aujourd’hui, il est appelé en tant que réserviste au service de réanimation de l’hôpital Georges Pompidou sur Paris. En pleine crise du coronavirus, beaucoup s’attendent à ce que le médecin témoigne d’un quotidien difficile et de conditions de travail absolument affreuses. Mais très étrangement, c’est tout l’inverse qui se produit. En effet, il fait un témoignage très différent de ce qu’on a l’habitude d’entendre et qui risque de ne pas forcément plaire à ses confrères.

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Tout va bien dans le meilleur des mondes !

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Au sein des services de réanimation de l’hôpital Pompidou, Michel Cymes assure que tout est calme. « Dans mon hôpital, il y avait 15 malades, mais 60 lits ont été ouverts et finalement, vous vous rendez compte qu’il y a un grand calme dans les réanimations contrairement aux services d’urgence où la situation doit être plus critique.» De même, il ajoute que « chacun maîtrise parfaitement ce qu’il a à faire. »

Plus étonnant encore, au niveau du matériel de protection, il affirme : « Il y a tout ce qu’il faut, mais quand j’ai commencé à aider les premiers jours, les stocks de masques FFP2 étaient pleins et ce n’est plus le cas désormais, même en réanimation.» En gros, tout va bien dans le meilleur des mondes pour l’animateur. Pas sûr que cela plaise à ses confrères qui témoignent d’un quotidien bien différent !

Michel Cymes