Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. People

Quand Nagui a pris la grosse tête : les révélations choc…

Publié par Claire JONNIER le 04 Fév 2019 à 14:05
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Nous sommes au début des années 90 et c’est l’ascension fulgurante d’un animateur TV : Nagui. Ces années folles, il en tirera de belles leçons d’humilité notamment lorsqu’il raconte comment il avait pris la grosse tête.

 

 

 

Nagui, la star des années 90

Au début des années 90, Nagui commence sa carrière en tant que présentateur et animateur TV. Et très vite, le succès est immédiat ! Décontracté, blagueur, il séduit un large public dans toutes ses émissions. Qui ne se souvient pas de  » la brosse à dents ça dents «  ? Que ce soit dans Taratata, Que le meilleur gagne ou N’oubliez pas votre brosse à dents, c’est à chaque fois un carton plein. « J’ai en effet connu plusieurs périodes dans ma carrière. À partir de 1993, ça commence à être une belle histoire. »

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

 

 

Du coup, le rythme s’accélère jusqu’au moment où : « pétage de câble total ! ». Aujourd’hui, il l’admet lui-même, il était devenu le centre du monde : « je suis le maître du monde »! Il explique aussi qu’il avait beaucoup de difficultés au niveau relationnel : « célibataire, la tête qui tourne dès qu’il y a une jupe qui passe, aucune stabilité et beaucoup de suffisance » explique-t-il.

 

 

 

nagui-carrière-pris-grosse tête-immortel

« Tant qu’on n’a pas perdu un proche, on se croit immortel »

Abonnez vous à la Newsletter TDN

Nagui revient sur ses années folles

Pour Nagui, c’est une spirale irrésistible qui vous entraîne sans que rien ni personne ne puisse vous en empêcher. « On a beau te dire 25 fois de ne pas toucher le four parce que c’est chaud, tant que tu n’as pas touché et que tu ne t’es pas brûlé, tu ne sais pas à quel point c’est chaud. C’était pareil pour moi. Tant qu’on ne s’est pas brûlé les ailes, tant qu’on n’a pas pété un câble, qu’on ne s’est pas fait tacler, quitter, tant qu’on n’a pas perdu un proche, on se croit immortel. »

 

 

Heureusement, aujourd’hui, il tire les leçons de cette époque sulfureuse ce qui lui permet d’envisager son métier avec plus de calme et de recul. « Il y a des candidats qui sont restés longtemps, mais qui avaient un petit côté suffisant qui ne plaisait pas. Ça n’accrochait pas. C’est comme ça. »