McDonald’s : l’ancien patron de la firme cache de gros secrets…
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McDonald’s est une nouvelle fois au coeur d’un scandale. L’entreprise accuse son ancien patron d’avoir caché des informations de la plus haute importance. Steve Easterbrook a été congédié en 2019 après avoir échangé des messages coquins avec une employée. Mais il aurait fait bien pire…
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L’ex-patron de McDonald’s devant la justice
McDonald’s doit gérer avec une affaire en justice qui fait du bruit. L’ancien patron de l’entreprise, Steve Easterbrook (remplacé par Chris Kempczinski) a été licencié en novembre 2019 après avoir échangé des messages coquins avec une employée. Cette dernière l’a accusé d’avoir menti au conseil d’administration puisque ce dernier cachait d’autres liaisons.
Il est forcé de quitter la société en assumant s’être lancé dans une histoire « consentie » mais contraire au règlement. Le géant américain lui a versé des indemnités d’un montant pharamineux de 40 millions de dollars, qu’il souhaite désormais récupérer après la découverte de nouvelles informations. En effet, le conseil d’administration a reçu une note anonyme qui confirme l’existence d’une autre relation. Une enquête interne est ouverte.
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McDonald’s au coeur d’un scandale
En effet, l’ex-directeur général depuis 2015 aurait bel et bien menti. Selon ses propos, il n’aurait eu qu’une seule relation avec une seule personne au sein de l’entreprise. Cette relation se serait également limitée qu’à des échanges de messages et de vidéos. Or, après une enquête approfondie, McDonald’s a découvert qu’il a bien eu des relations sexuelles avec trois membres du personnel en 2018.
Le mensonge ne s’arrête pas là ! Un document transmis à l’autorité américaine des marchés financiers dévoile que Steve Easterbrook a également accordé des actions de milliers de dollars à l’une de ces personnes. Il a tout fait pour détruire les preuves de ces liaisons en effaçant les mails. Petit problème, les mails sont tous sauvegardés sur les serveurs de l’entreprise ! C’est pourquoi McDonald’s souhaite récupérer les indemnités accordées à l’ex-patron puisqu’il s’agit désormais d’un licenciement « pour faute ».
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