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Le patron de TF1 tacle violemment Cyril Hanouna (vidéo)

Publié par Marion Ristor le 22 Oct 2017 à 9:33
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Plus aucun invité de TF1 sur TPMP

Depuis la rentrée, c’est une guerre qui se mène entre les chaînes TF1 et C8. Hier, jeudi 19 octobre, le patron de TF1, Gilles Pélisson, taclait Cyril Hanouna en réponse à ses provocations. C’est l’annonce d’un boycott de la part de TF1 qui a fait sortir de ses gonds l’animateur de l’émission Touche Pas À Mon Poste. « TF1ne laissera plus aucun invité de TF1, animateur ou autre. Ils n’ont plus le droit de venir. Mêmes nos amis n’ont pas le droit d’aller sur TPMP », déclarait Cyril Hanouna à l’antenne. Il a alors accusé le « grand patron de TF1 » d’être à l’origine de cette décision. Celui qui se fait surnommer Baba suspectait également son rival Yann Barthès d’avoir commandité ce boycott. On rappelle que les deux ennemis s’était tour à tour taclés suite à la venue du sportif Pierre-Ambroise Bosse sur le plateau de TPMP.

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« Un problème de ‘Comment j’existe ?' »

« TF1, si vous ne venez pas à moi, je serai en direct chez vous entre 21h et 23h », avait promis Cyril Hanouna suite à cette annonce. Et le provocateur a tenu ses promesses. Le 12 octobre dernier, il projetait une photo de lui en slip sur la tour de la chaîne. « Mon slip vous appartient » pouvait-on lire sur l’image. Un slogan qui faisait référence à la série Demain nous appartient. Cette énième provocation a suscité l’agacement de Gilles Pélisson. Alors qu’il participait à une conférence dans une école de commerce de Lyon, le patron a été interrogé sur les attaques dont il était la cible. « C’est un problème de ‘Comment j’existe ?’. Il essaie de faire du bruit alors que son émission est en baisse », a-t-il répondu aux étudiants. Depuis le mois de septembre, Touche Pas À Mon Poste connait effectivement une légère baisse de régime. Et l’émission serait devancée par son rival Quotidien. « Je préfère vous parler de Quotidien, parce que ça au moins ça marche », a conclut Gilles Pélisson.

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Visiblement, la guerre n’est pas prête de s’arrêter entre les deux chaînes.

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