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Coup de théâtre : Jean-Luc Mélenchon annonce son soutien à Marine Le Pen « au nom de la justice républicaine »

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« Nous n’avons pas les mêmes idées, mais nous avons désormais le même ennemi : l’acharnement judiciaire »

Dans un retournement aussi spectaculaire qu’inattendu, Jean-Luc Mélenchon a déclaré ce matin, lors d’une conférence de presse improvisée devant l’Assemblée nationale, son soutien « critique mais ferme » à Marine Le Pen, récemment condamnée par la justice française.

Le leader insoumis, connu pour ses passes d’armes virulentes contre l’extrême droite, a expliqué sa décision par un « devoir moral de solidarité face à un système judiciaire aux ordres ».

Une déclaration lunaire… mais très sérieuse (en apparence)

« Il est temps de dépasser nos désaccords historiques. Marine Le Pen n’est pas l’ennemie aujourd’hui. L’ennemi, c’est l’instrumentalisation de la justice à des fins politiques. »

Jean-Luc Mélenchon a ensuite déroulé un plaidoyer enflammé, évoquant les « heures sombres de la Ve République », citant Hugo Chávez, Che Guevara et… Jeanne d’Arc, dans une envolée mystico-révolutionnaire qui a laissé les journalistes présents entre perplexité et fou rire nerveux.

Il a conclu son intervention par une phrase déjà virale sur X (ex-Twitter) :

« Si on ne peut plus dire n’importe quoi sans être condamné, alors que reste-t-il de la République ? »

Une alliance contre-nature ?

Au sein de La France Insoumise, c’est la stupeur.
François Ruffin aurait été aperçu en train de méditer en silence dans une boulangerie bio d’Amiens.
Clémentine Autain, elle, a simplement tweeté : « C’est NON. »
Quant à Marine Le Pen, elle a salué une « prise de conscience tardive mais bienvenue ».

Un nouveau parti : « La France Rassemblée » ?

Des tractations seraient déjà en cours pour créer une alliance « des patriotes en colère » sous la bannière de « La France Rassemblée ». Des visuels non vérifiés circulent déjà sur les réseaux : Jean-Luc Mélenchon, poing levé, en train de tendre un flan à la vanille à Marine Le Pen. L’image divise.

Le premier meeting commun aurait lieu à Vichy. Hasard du calendrier, paraît-il.

👀 Mais avant de faire une crise d’urticaire politique… jetez un œil au calendrier.
On est le 1er avril, et oui, c’était un poisson d’avril.

Jean-Luc ne soutient pas Marine. Marine ne soutient pas Jean-Luc.
Et vous pouvez ranger vos drapeaux en feu.