Une mère tue son enfant de 3 ans pour pouvoir partir en vacances

Publié par Jade le 04 Mar 2020 à 17:30

En avril 2018, une mère Croate a été condamnée à 33 ans de prison pour avoir tué son fils. La jeune femme a fait appel, et la justice a confirmé sa peine.

Une mère de famille condamnée pour avoir tué son fils

Chiara Pasic passera bien ses trente-trois prochaines années en prison. En effet, en avril 2018, cette maman croate avait été condamnée pour avoir tué son fils de trois ans, Denis. Après le procès, ses avocats ont fait appel. Mais la sentence n’a pas bougé. La Cour suprême de la République de Croatie a confirmé sa peine. Cette mère de famille a tué son propre enfant à l’aide d’un oreiller avant de déposer son corps dans le port de Tula. La raison de son geste va profondément vous choquer. Chiara voulait simplement partir en vacances en Macédoine.

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Selon plusieurs rapports judiciaires, la mère de famille n’a montré aucune émotion à l’annonce de son verdict et devra passer deux années dans un établissement psychiatrique. De plus, Chiara Pasic a sollicité l’aide d’une adolescente de 15 ans pour perpétrer son meurtre. L’adolescente tenait l’oreiller sur le visage du petit Denis pendant que sa propre mère lui maintenait les bras et les jambes. L’adolescente a elle aussi été condamnée. Elle passera trois années dans le centre de détention pour jeunes à Pozega.

Un meurtre atroce pour une raison totalement futile

Après avoir étouffé son enfant, la mère a signalé sa disparition aux policiers. Elle affirme avoir vu Denis pour la dernière fois dans un jardin d’enfants. Mais Chiara Pasic a avoué son meurtre quelques heures après avoir signalé sa disparition. Après son interrogatoire, la jeune femme a montré l’endroit où elle a fait disparaître, avec l’aide de sa complice, le corps de son fils de trois ans… Selon, le magazine « The Sun » , les voisins entendaient très souvent le petit garçon se plaindre. Ils voulaient signaler ces incidents aux autorités, mais ils ne voulaient pas « s’immiscer » dans les relations familiales. L’un d’eux a expliqué : « le garçon pleurait tellement qu’une fois, la femme qui vit dans l’appartement dessous a presque appelé la police, mais elle a abandonné l’idée ».

Pour les voisins, « c’était un garçon très doux » . L’enfant de trois ans vivait seul avec sa mère, car son père était en prison en Bosnie-Herzégovine. Une terrible affaire qui a retourné la Croatie.