Perpette, le nouveau concept de bar parisien qui cartonne !
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Un bar s’inspirant directement d’une série très connue, « Orange Is the New Black ». En effet, les clients sont tenus de revêtir des habits de prisonniers similaires à ceux de la série.
Concept inédit ?
Le concept de Perpette est simple : un bar immersif qui recrée l’univers d’une prison américaine.
Situé dans le 2ᵉ arrondissement de Paris, Perpette se dissimule. Ouvert début février, le bar semble minimaliste de l’extérieur, mais une fois la porte franchie, nous sommes accueillis par des gardiens.
Nous devons nous conformer au code vestimentaire du lieu en enfilant une tenue orange de prisonnier. L’ambiance rappelle davantage les prisons américaines que françaises.
Certes, c’est un concept novateur, mais surtout pour sa longévité. En effet, des événements immersifs éphémères ont déjà vu le jour, mais ils n’ont jamais perduré dans le temps.
Que consomme-t-on dans ce bar ?
Une fois vêtu, c’est le moment de passer à la consommation. Et quoi de mieux que de choisir parmi les « soupes spéciales », qui sont en réalité des cocktails et des mocktails préparés par les barmen.
Il est alors temps de trouver une place dans une cellule pour profiter de l’ambiance, ainsi que des mezze comme l’Houmous, le Tzatziki et une compotée de tomates, servis bien entendu avec un pain spécial Perpette.
« On est dedans dès le début, assure Lucas, venu avec deux amies. C’est hyper intéressant parce que je n’avais jamais vu ce concept en France.«
En effet, une fois arrivés près des cellules, le spectacle ne s’arrête pas là : des comédiens endossent les rôles du directeur de la prison, du gardien et des codétenus.
« C’était génial, on est en immersion, apprécie Linda. On peut se poser, manger, boire et discuter avec les autres détenus et, d’un coup, on repart dans l’histoire parce qu’on est actifs ». » Plus ça va, plus ça monte en pression avec des acteurs impressionnants, tout en restant dans ce cadre de bar« , ajoute Lucas, qui conseille vivement « l’expérience » pour une cinquantaine d’euros. Des propos recueillis de la part de nos collègues du Parisien.
