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Mariés et heureux depuis 21 ans, ils divorcent à cause d’une erreur informatique d’un avocat

Publié par Elodie GD le 25 Avr 2024 à 18:38
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Quelle ne fut pas la surprise de ce couple uni depuis 21 ans en apprenant la dissolution de son mariage. Une dissolution accidentelle due à la mauvaise manipulation du très réputé cabinet d’avocats britannique Vardag.

drame mariage Leur soirée de mariage vire au drame : la piste de danse s’effondre (vidéo) Leur soirée de mariage vire au drame : la piste de danse s’effondre (vidéo)

Leur mariage annulé contre leur gré

L’avocat a appuyé sur « le mauvais bouton ». Une excuse que ne compte pas accepter ce couple marié, dont la tranquillité a été brisée après une mauvaise manipulation. Une manipulation aux conséquences désastreuses puisqu’elle a mis fin à leur mariage long de 21 ans.

Les faits se sont déroulés dans le cabinet d’avocat britannique dirigé par Ayesha Vardag. Une femme qui s’autoproclame « diva du divorce ». Et sa réputation n’a pas failli, même cette fois. Pourtant, elle s’en serait bien passée. En effet, le divorce non désiré a été accordé en 21 minutes… Un véritable record !

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

Ce n’est que deux jours plus tard que M. et Mme. Williams apprennent la mauvaise nouvelle. Aussitôt, ils demandent à ce que les avocats responsables de cette erreur annulent la décision. Une entreprise qui s’avère bien plus compliquée que prévu…

Un couple voit son mariage annulé accidentellement après 21 ans

Une vache interrompt les vœux de mariage d'un couple Une vache interrompt les vœux de mariage d’un couple (vidéo) Une vache interrompt les vœux de mariage d’un couple (vidéo)

« L’ordinateur dit non, vous êtes divorcés ! »

Face à la haute cour, les avocats du cabinet Vardag plaident en faveur de leur client. Seulement, face à eux, le juge de la Haute Cour est intransigeant. « L’ordinateur dit non, vous êtes divorcés », martèle le juge Andrew McFarlane. Il se vante par ailleurs « qu’avec sa rapidité habituelle », le système a accordé le divorce en 21 minutes.

Le cabinet tient bon, plaidant qu’un avocat avait appuyé sur « le mauvais bouton ». L’épouse se joint à eux. Mais je le juge est catégorique. Il indique que les avocats « étaient autorisés à agir en son nom et que le tribunal était habilité à faire droit à la demande de dissolution définitive du mariage ». Il ajoute que, même si la sentence est annulable, il y a un « fort intérêt politique à respecter la fermeté qui découle d’une résolution définitive de divorce et à maintenir le statu quo qui a été établi ».

Bref, les époux se verront obligés de se remarier. Pourtant, le cabinet Vardag a une réputation qui n’est plus à faire outre Manche. Il compte parmi ses clients des émirs du Qatar, mais aussi des membres de la famille royale, des footballeurs et des magnats des affaires malaisiens. Un panel de richissimes clients qui risquent de tiquer en lisant l’actualité.

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