Jazz Correia : pourquoi elle a failli finir en prison à Dubaï ?
Jazz Correia, ancienne candidate de télé-réalité désormais influenceuse qui vit à Dubaï a vécu une étonnante mésaventure il y a quelques années maintenant.
Dans une récente interview, elle a confié avoir failli finir en prison suite à la naissance de son fils. Une histoire dont elle se souvient encore aujourd’hui tant elle a été marquante pour elle et sa famille.
Jazz Correia, de candidate de télé-réalité à influenceuse
Jazz Correia, révélée dans Qui veut épouser mon fils, s’est rapidement imposée dans l’univers de la téléréalité grâce à son caractère bien trempé.
Après avoir participé à plusieurs émissions, elle rencontre Laurent Correia, qui deviendra son mari et le père de leurs quatre enfants : Chelsea, Cayden, London et Love. Le couple choisit de s’installer à Dubaï, un cadre luxueux prisé par les influenceurs pour les avantages fiscaux et la sécurité.
À lire aussi
Malheureusement, leur vie sous les projecteurs fait souvent l’objet de nombreuses controverses, de l’affaire d’adoption avec Dylan Thiry à des séquences jugées déplacées.
Mais vivre à Dubaï n’est pas toujours de tout repos, surtout lorsque la loi se mêle à leur vie personnelle…
Ce jour où elle a failli finir en prison
Il y a cinq ans, Jazz Correia a vécu une situation angoissante après la naissance de son fils Cayden. Dans une interview, elle a raconté cette folle histoire.
À lire aussi
« Ils ont pris l’acte de naissance et l’acte de mon mariage. Ils ont dit : ‘Mais il y a un problème. Ton fils n’a pas cinq mois, donc quand tu t’es mariée, tu étais enceinte de quatre mois.’ »
Ce détail a suffi pour que les autorités locales refusent l’acte de naissance de l’enfant, l’accusant de « fornication », un délit sévèrement puni à Dubaï.
Jazz Correia explique : « Je me retrouve convoquée au tribunal où on dit à mon mari : ‘Est-ce que tu acceptes cette personne en parlant de moi et de mon enfant ?’ »
Laurent, en confirmant leur union et la paternité de Cayden, a permis d’éviter une condamnation et de débloquer les démarches administratives. « C’était chaud ».