« Je serai une p*te plus tard » : Loana raconte son enfance rythmée par la violence

Publié par Jeanne Ferry le 28 Fév 2022 à 17:03

Loana était invitée sur le plateau de Jordan de Luxe ce vendredi 25 février 2022. L’ancienne candidate de Loft Story a accepté de se confier sur son enfance douloureuse, rythmée par les coups de son père, violent. Des déclarations bouleversantes.

Loana, une vie compliquée

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Depuis plusieurs années maintenant, Loana ne cesse de faire parler d’elle. L’ancienne candidate de Loft Story s’est fait connaître en participant à cette émission de télé-réalité. Elle a été l’une des premières gagnantes et personne, surtout pas elle, ne s’attendait à avoir une telle célébrité.

Une véritable consécration pour celle qui a eu une vie des plus compliquées. Malheureusement, cette célébrité ne l’aurait pas toujours aidée. Et pour cause, Loana rencontre de mauvaises personnes et tombe rapidement accro à l’alcool et aux médicaments. Elle fait plusieurs séjours à l’hôpital à cause d’overdoses. Mais désormais, elle semble aller beaucoup mieux.

Ses bouleversantes confidences sur son enfance

Une nouvelle vie qu’elle a accepté de raconter sur le plateau de Jordan de Luxe pour PurePeople. Loana est revenue sur son enfance des plus compliquées, rythmée par les coups de son père, violent : « J’ai habité au bord de la mer à Golfe Juan, ma mère m’a dit ‘tu savais nager avant de savoir marcher‘. C’était pas mal jusqu’à qu’on me décèle une allergie à l’iode. Donc on est montés dans les hauteurs, mon père a changé de métier, et puis dans sa boîte il y a eu une restructuration, pas mal de personnes ont été renvoyées, dont lui, je devais avoir 11 ans » , confie-t-elle.

« Il n’a pas supporté de rester à la maison. Je devais répéter ‘je serai une p*te plus tard’ avant d’aller me coucher. Ma vie était idyllique jusqu’à mes onze ans […] et j’ai eu des moments de drames terribles. Mon père me frappait devant tout le monde. Je pense qu’il a vécu pire que moi. Son père lui a cassé les dents pendant que sa mère lui tenait les mains derrière le dos » , conclut-elle ensuite.