Coronavirus : ce qu’Emmanuel Macron a formellement interdit à ses ministres !
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Alors que les Français doivent vivre avec le Coronavirus en attendant la généralisation du vaccin, il est essentiel de rassurer la population. Or, Emmanuel Macron a décidé de mettre les choses au clair avec ses ministres trop bavards. Découvrez le rappel à l’ordre du chef de l’État dans la suite de l’article.
@emmanuelmacron / Instagram
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Le Coronavirus est un sujet sensible
C’est en voyant les interviews de ses ministres retransmises à la télévision, qu’Emmanuel Macron est sorti de ses gonds mercredi 13 janvier. Certains membres du gouvernement sont trop bavards à son goût. Sud-Ouest révèle les sujets qu’ils doivent impérativement éviter pour rassurer les Français et garder leur confiance : le Coronavirus et la campagne de vaccination.
Et pour cause, seuls trois membres du gouvernement, sans compter le Premier Ministre ont le droit de parler de la campagne de vaccination : le ministre de la Santé (Oliver Véran), la ministre déléguée à l’Industrie (Agnès Pannier-Runacher) et le porte-parole (Gabriel Attal). Emmanuel Macron va encore plus loin : « Si j’en entends un autre en parler dans les médias, je suis à sa disposition pour recevoir sa lettre de démission ».
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Le gouvernement sous tension face au Coronavirus
Particulièrement pris pour cible, Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué chargé des Transports n’a plus le droit de faire ne serait-ce qu’un seul « faux pas », dévoile Gala. En effet, Djebbari a tendance à dévoiler tout ce qui se passe en interne, notamment les sujets sensibles comme la gestion de l’épidémie. C’est le 3 janvier dernier sur BFM TV, qu’il a annoncé la vaccination contre le Coronavirus de « 26 millions de Français d’ici à l’été », alors qu’Olivier Véran table sur 15 millions.
Hors de lui, le Président aurait dit : « Ce qui s’est passé dimanche est inadmissible […] On ne peut pas avoir un ministre qui n’y connaît rien, qui donne des chiffres à la télévision ». Par ailleurs, le Chef de l’État a également menacé les ministres qui osent régler leurs comptes dans les médias : « Si j’en prends un à dire du mal des autres dans la presse… ». Ça ne rigole plus.
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Source : Planet
