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Une chroniqueuse de TPMP en hôpital psychiatrique : Que s’est-il passé ?

Publié par Elodie Gros-Désir le 14 Oct 2024 à 13:53

Figure désormais incontournable de TPMP, Polska a traversé des périodes pour le moins difficiles avant de connaître le succès.

Polska, internée en hôpital psychiatrique

Polska : De la rue au succès médiatique sur TPMP

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Polska est la nouvelle coqueluche des chroniqueurs. Jeune, franche, parfois maladroite, elle régale public et téléspectateurs de TPMP. Une affection à laquelle elle a pris goût et qu’elle fait tout pour conserver. Il faut dire que Polska est habituée à être le centre de son monde.

Avant d’accéder aux médias, la jeune femme était une véritable star des réseaux sociaux. Si elle peine elle-même à comprendre pourquoi elle a « percé », elle ne s’en passe plus. Galvanisée par l’attention des internautes, elle a pris le parti de la provocation. Une attitude qui lui a valu une attention démesurée durant plusieurs années. « J’aimais bien, ça me donnait de l’attention », explique-t-elle à Cyril Hanouna.

Toutefois, si son quotidien actuel fait rêver, Polska a eu un parcours semé d’embuches. Prise au milieu des disputes parentales, la jeune Polska a quitté la Pologne avec sa mère. Une fois en France, celle qui espérait une vie meilleure a dû se rendre à l’évidence : cela n’arrivera pas de sitôt. Chassée par sa mère, recueillie en foyer puis mise à la rue, elle a mené une vie d’errance jusqu’à son buzz sur les réseaux sociaux.

Placée en foyer, mise à la rue, internée en hôpital psychiatrique…

Une existence tumultueuse qui lui a même valu un crochet en hôpital psychiatrique. Un épisode qu’elle évoque sans tabous, entourée de ses confrères. « Entre mes 12 et 18 ans, j’ai été en foyer, ensuite entre mes 18 et 19 ans, j’étais à la rue, et ensuite, j’ai même été en hôpital psychiatrique », explique la jeune femme.

« Tout ça ne m’a absolument pas touchée », se vante-t-elle. Une désinvolture nécessaire pour supporter le pire ? Intrigué par les révélations de sa jeune recrue, Cyril Hanouna veut en savoir plus : où dormait-elle quand elle était à la rue ? « Un petit peu chez une copine, un petit peu sur un banc, je suis retournée en Pologne, j’ai fait des auberges », explique-t-elle.

Pour ce qui est de son séjour en psychiatrie, Polska révèle qu’elle a un temps développé des tocs. Elle passait des heures dans sa chambre à répéter les mêmes gestes. Un comportement qui a évidemment alerté le personnel du foyer. Mais que la bande à Baba se rassure : elle va beaucoup mieux aujourd’hui !