Thierry Ardisson révèle le nom de l’homme public avec qui il a eu une relation homosexuelle

Publié par Nicolas F le 14 Sep 2017 à 10:19

Invité sur le plateau de Cyril Hanouna, l’homme en noir, Thierry Ardisson a fait quelques confidences sur sa vie sexuelle passée. Habitué de répondre sans détour aux questions qu’on lui pose, Thierry Ardisson a confié avoir eu une expérience homosexuelle. Il n’a pas fallu attendre une minute pour qu’il balance également le nom de cet homme, qui est aujourd’hui un grand patron de la mode.

Il avoue avoir couché avec un homme

Ce mardi, sur le plateau de Touche pas à mon poste, se trouvaient Jeremstar et Thierry Ardisson, tous deux invités pour faire la promotion de la nouvelle émission de ce dernier, Les Terriens du dimanche. Pour l’occasion, Cyril Hanouna avait préparé une interview coup de poing, avec des questions cash, tout comme Thierry Ardisson a l’habitude de poser à ses propres invités. Parmi ces questions, Baba lui demande : « Avez-vous déjà essayé les mecs ? ». La question qui peut sembler surprenante, n’a pas fait sourciller Thierry, marié avec la belle présentatrice du Journal de TF1, Audrey Crespo-Mara. « J’ai essayé », répond-il sans hésitation. « Et ça s’est très mal passé. J’avais 18 ans, peut-être un peu plus… le mec m’a raté, quoi ».

Thierry donne le nom de l’homme avec qui il a eu une expérience gay (Gala)

Il balance aussi son nom

Le public rit mais est également surpris par la révélation. À côté de Thierry Ardisson, est assis Jeremstar qui en profite pour en savoir un peu plus. « Qui est donc cet homme ? ». L’homme en noir n’a pas hésité, une fois de plus, à balancer le nom de son amant de l’époque : « J’ai eu cette expérience avec un type qui est patron du syndicat de la mode, qui s’appelle Didier Grumbach. Didier, si tu nous regardes, tu m’as raté ! ». À l’autre bout de la table, Rachid Arhab, ancien membre du CSA, devenu chroniqueur dans Touche pas à mon poste, a émis des réserves quant à la manière dont l’invité vient de donner le nom d’un personnage public. Thierry Ardisson conclura, non sans humour « Je peux bien me plaindre, merde ».