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Alerte ! Prise d’otages en cours dans une prison : un gardien blessé

Publié par Romane TARDY le 05 Oct 2021 à 11:56

Le centre pénitentiaire d’Alençon-Condé est actuellement le lieu d’une prise d’otages. Un surveillant et un stagiaire sont retenus par un détenu dans sa cellule. L’homme condamné à perpétuité a subtilisé les clés et leurs talkies-walkies.

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MAJ : Vers 12h20, l’un des deux surveillants, aurait été libéré mais il ne s’agit pas de l’agent blessé. En début d’après-midi, selon les informations du ministère de la Justice, le détenu a fini par se rendre après des négociations avec le RAID, libérant aussi ainsi le deuxième otage.

prison

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Prise d’otages dans une prison

Les prises d’otages sont des événements traumatisants. En ce moment même, une nouvelle vient de commencer au centre pénitentiaire d’Alençon-Condé. En effet, un détenu condamné à perpétuité est parvenu à retenir deux agents dans sa cellule. Ce mardi 5 octobre matin, un surveillant titulaire et un stagiaire ont été agressés à 10h15, selon les informations de BFMTV. Ils ont été dépossédés de leurs clés et leurs talkies-walkies par un prisonnier. Il les a ensuite pris en otage. L’un d’eux a été blessé à l’oeil.

Les faits se sont produits lors d’une réintégration dans la cellule. Le preneur d’otages avait même masqué les caméras. Parmi les deux otages, il y aurait un homme et une femme. Le détenu, lui, aurait été condamné pour viol et meurtre. Il se dénommerait Sofiane Rasmouk, serait âgé de 33 ans et détiendrait une arme blanche.

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Intervention en cours !

Les Eris, équipes régionales d’intervention et de sécurité, s’apprêtent à intervenir. Des barrages filtrants sont en place aux entrées du centre pénitentiaire. Un contact a alors été établi avec le détenu : il veut renégocier sa peine à perpétuité. Pour l’instant, il n’est pas question de radicalisation dans cet acte. Le parquet a été saisi. Une cellule de crise a aussi été immédiatement ouverte.

Ce n’est pas la première prise d’otages dans cette prison. La dernière dans cette maison d’arrêt remonte à juin 2019 où un détenu avait également pris deux agents en otages. La séquestration avait duré 5 heures.

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