Scandaleux : une chasseuse abat une girafe et pose avec son cœur pour la Saint-Valentin ! (VIDEO)
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Elle s’appelle Merelize Van Der Merwe et récemment, ses photos font un véritable scandale sur la toile. Il faut dire que pour la Saint-Valentin, elle a décidé de s’offrir une petite partie de chasse en Afrique du Sud en abattant une girafe. Et comme si cela ne suffisait pas, cette chasseuse pose avec son cœur entre ses mains. Découvrez la vidéo choc :
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Une chasseuse abat une girafe
2000 $ ! Voilà le prix d’une girafe en Afrique du Sud… En tous les cas, c’est ce qu’affirme la chasseuse Merelize Van Der Merwe, très contente de sa Saint-Valentin. Ce jour-là, elle a décidé d’abattre une girafe de sang-froid pour se faire un petit cadeau. Et ce petit cadeau, ce n’est autre que son cœur avec lequel elle pose tout sourire.
« Vous êtes-vous déjà demandé quelle était la taille du cœur d’une girafe? Je suis vraiment ravie de mon GRAND cadeau pour la Saint-Valentin !!! » Alors évidemment, il n’en fallait pas plus à tous les internautes pour monter au créneau. Il faut dire que les clichés sont particulièrement indécents et qu’ils suscitent une vague d’indignation sur la toile.
Un véritable scandale sur la toile !
Lorsque cette chasseuse publie ses photos sur la toile, c’est immédiatement une vague d’indignation. Mais le pire, c’est qu’elle contre les commentaires en expliquant tout simplement qu’il s’agit là d’une manière de préserver la biodiversité tout en créant du travail. En effet, ce jour-là, elle assure avoir créé du « travail pour 11 personnes », sans parler de la viande qu’ils ont pu manger.
Et malheureusement, c’est un business qui apparemment, séduit bon nombre de chasseurs de trophées. En effet, un membre d’une organisation anti-chasse explique qu’actuellement, il existe tout un réseau qui s’est créé «au détriment de l’environnement au sens large.» Résultat ? Le fait d’encourager ce genre de pratique « perturbe les sociétés animales et a des effets d’entraînement sur les populations et les écosystèmes qui nous commençons à peine à comprendre.»
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