Ce sont des génies mais ils ont commis le pire : ces tueurs en série ont un QI élevé !
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Avoir un excellent QI n’est pas signe qu’on va devenir un génie de la science ou des mathématiques. Pour preuve, on peut devenir tueurs en série ! Certains des plus célèbres tueurs en série ont été diagnostiqué avec un QI plus élevé que la normale, mais également avec souvent des pathologies psychiatriques et des troubles. Certains des meurtriers ont su faire usage de ce QI démesuré, pour commettre sans vergogne le pire. Découvrez ces 12 tueurs en série qui ont un QI élevé !
John Christie (128 QI)
John Christie était un tueur en série britannique, actif pendant les années 1940 et 1950. Marié, John Christie avait pour habitude d’aller voir des prostituées pour assouvir ses besoins de violences sexuelles. Il tua sa première victime, Ruth Fuerst, lors d’un rapport sexuel, en l’étranglant. John Christie mit alors au point un mélange composé de monoxyde de carbone pour entrainer l’évanouissement sur ses prochaines victimes.
Son intelligence, avec son QI estimé à 128, lui servit dans sa carrière meurtrière. En 1948, il tue sa voisine, alors enceinte, Beryl Evans, en ayant promis au mari de cette dernière, Timothy, qu’il allait la faire avorter, le couple n’ayant pas les moyens d’avoir un deuxième enfant. Puis, alors qu’il persuade Timothy Evans de se réfugier chez sa famille, il s’en prend à la fille du couple, Géraldine. Timothy Evans est accusé à la place de John Christie, pour le meurtre de sa femme et de sa fille. Il est pendu le 9 mars 1950.
John Christie continue alors son parcours meurtrier : il tue sa propre femme, et trois autres jeunes femmes avant d’être finalement arrêté. Il est pendu le 15 juillet 1953, par le même bourreau qui a exécuté Timothy Evans.
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Juan Corona (130 QI)
Juan Corona est né au Mexique, en 1934 et a immigré illégalement aux États-Unis, en 1950 à Marysville. Il s’est marié eu quatre filles mais a été profondément marqué par les inondations meurtrières qui se sont déroulées en décembre 1955. Le 17 janvier 1956, il a été conduit contre son gré en hôpital psychiatrique, où on lui a diagnostiqué « une réaction schizophrénique, de type paranoïaque ». Il a subi 23 traitements et a été relâché.
Juan Corona obtient sa carte verte, et en 1962, il devient responsable du personnel pour les ranchs fruitiers de la région. Si c’était un acharné du travail, Juan Corona était également connu pour avoir un tempérament violent et un problème avec l’homosexualité masculine. Le 20 mai 1971, dans l’un des ranchs pour lequel travaille Juan Corona, un cadavre d’un homme est découvert sous terre. Quelques jours plus tard, toujours dans les ranchs, les découvertes macabres se multiplient. Toutes les victimes ont été poignardées à mort, la tête mutilée à coup de machette, deux barres derrière le crâne pour former une croix et mit dans une certaine position. Certains cadavres ont été sexuellement mutilés.
Les victimes étaient toutes des travailleurs embauchés par Juan Corona. Celui-ci a été arrêté le 26 mai 1971. On estime que sur une période de six semaines, il a tué toutes les quarante heures. 25 meurtres lui sont imputés, et il a donc été condamné 25 fois à la prison à vie. Il meurt dans sa cellule le 4 mars 2019.
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