Jean-Luc Lahaye accusé de viol sur mineurs : « il me demandait de me pénétrer avec un fruit »
Suivez nous sur Google News
Ce mercredi 3 novembre, Jean-Luc Lahaye, 68 ans, a été placé en garde à vue pour des faits reprochés de viols et agressions sexuelles. Mais également de corruption de mineures. Au lendemain de ce placement, faisons le point sur ce que nous savons sur la garde à vue qui se poursuit.
Instagram @jeanluclahaye.officiel
>> À lire aussi : Jean-Luc Lahaye accusé de viols sur mineures : Il a été placé en garde à vue avec sa fille !
Il les avait mis « sous son emprise »
Jean-Luc Lahaye a été placé ce mercredi 3 novembre en garde à vue par l’Office central. Pour des faits reprochés de viols, agressions sexuelles et corruption de mineurs. En effet, deux jeunes femmes ont été déposées plainte contre lui. Les faits se seraient produits entre les années 2013 et 2014. À cette époque, les deux jeunes femmes étaient âgées seulement de 16 et 17 ans.
Selon elles, Jean-Luc Lahaye aurait eu des relations sexuelles avec elles et elles estiment avoir été, à l’époque, sous son emprise. Par caméras interposées, il aurait également demandé aux jeunes filles de se déshabiller et de prendre certaines positions sexuelles.
>> À lire aussi : Ary Abittan mis en examen pour viol : la troublante réaction de l’acteur face aux enquêteurs
« Jean-Luc Lahaye me demandait de me pénétrer avec un fruit »
Pour mieux comprendre les faits, il est nécessaire de remonter en 2013. Cette année-là, une des deux jeunes femmes, totalement fan, prend contact avec le chanteur sur les réseaux sociaux. À force de nombreux messages, elle finit par tomber sous son charme ! Au fil de la conversation, les messages deviennent d’ailleurs de plus en plus explicites…
En effet, Jean-Luc Lahaye lui demande très rapidement de lui montrer ses seins. Et également de lui adresser des photos suggestives… La mettant en scène en train de se masturber avec un fruit, un épi de maïs, ou bien encore une cuillère ! Dans certains messages, il n’hésite pas à lui promettre des actes sexuels violents avec son sexe qu’il qualifie de « guerrier ».
S’installe alors une véritable « relation d’emprise », établie notamment par la notoriété du chanteur, qui a engendré des « rapports physiques non consentis » par la suite…
>> À lire aussi : « Violer une policière : prime de 500 000 € » Ce tableau des horreurs découvert dans un point de deal
