Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Actualité

« Violer une policière : prime de 500 000 € » Ce tableau des horreurs découvert dans un point de deal

Publié par Celine Spectra le 31 Oct 2021 à 9:49

Ce vendredi 29 octobre au soir, des inscriptions ont été découvertes dans un hall d’immeuble qui est également un point de deal très connu de Savigny-le-Temple. Une enquête va être ouverte.

"Violer une policière : prime de 500 000 €" Ce tableau des horreurs découvert dans un point de deal

Image Twitter

Ce tableau des horreurs découvert dans un point de deal

Sur un mur blanc des bâtiments, sous deux affichettes du bailleur social demandant de ne pas encombrer les paliers a été inscrit un véritable tableau de prime des horreurs ! En effet, on peut y lire une véritable liste de sévices à faire endurer aux policiers contre rémunération. On peut notamment y voir que la décapitation d’un policier rapportera 500 000 euros… Mais aussi que de jeter une boule de pétanque sur la police sera rémunérée de 200 euros.

La vidéo du jour

Autre horreur : violer une policière ou rentrer une barre de fer dans l’utérus de celle-ci !!! L’ensemble de ces écrits a été retrouvé par une patrouille intervenant dans un hall très connu pour être un point de deal à Savigny-le-Temple. En Seine-et-Marne. On espère bien évidemment qu’il ne s’agisse que de provocations de très mauvais goût… Et non d’une vraie mise à prix ! En tout cas, l’affaire est d’ores et déjà prise très au sérieux par l’ensemble des Policiers de cette ville classée en ZSP.

>> À lire aussi : Violences policières : Un homme se fait violemment frapper au sol (vidéo) 

>> À lire aussi : Violences policières : Un fêtard frappé et trainé au sol par un policier (vidéo)

« Nous constatons une augmentation de ce type de tags »

Une source policière a déclaré suite à cette horrible découverte, que les policiers ne savent pas quand ça a été écrit. De son côté, l’Unité-SGP police considère ce phénomène comme extrêmement inquiétant. Car il constate que c’est un événement qui se produit de plus en plus souvent. En effet, les policiers ont remarqué une recrudescence actuelle de ce genre de tags. Pire encore, certaines fois, ils sont accompagnés de noms ou de photos Facebook de fonctionnaires.

>> À lire aussi : Violences policières : Le gilet jaune éborgné, Jérôme Rodriguez, va recevoir un dédommagement

Source : Actu17