Emmanuel Macron, un tricheur ? Grosse polémique après son premier meeting
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Après des semaines de suspens, Emmanuel Macron a enfin annoncé qu’il était candidat à la présidentielle 2022. Et pour son premier meeting 2022 à Poissy, le président de la République doit déjà faire face à une polémique. Alors que son débat devait être « libre », France Inter assure que cela ne l’était pas tellement…
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Emmanuel Macron enfin candidat
Depuis plusieurs semaines maintenant, Emmanuel Macron laissait planer le doute. Et pour cause, le président de la République n’avait pas encore annoncé s’il était candidat à la présidentielle 2022. En effet, alors qu’il avait pris son temps dès le départ, la guerre en Ukraine est venue semer la zizanie.
Il devait donner son premier meeting samedi 5 mars 2022, mais ce dernier a été annulé à cause de l’actualité. C’est finalement par une simple lettre postée sur son compte Twitter ce vendredi 4 mars 2022 qu’il a annoncé sa candidature et qu’il a dévoilé les grandes lignes de son programme, taclant au passage Eric Zemmour puisqu’il souhaite une France tournée vers l’avenir, celle de « nos enfants » et non pas « celle de notre enfance ».
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Un premier meeting polémique
Emmanuel Macron donnait son premier meeting en tant que candidat à la présidentielle ce lundi 7 mars 2022. Mais alors qu’il souhaitait réinstaurer « le débat libre », ce dernier n’était finalement pas si libre que cela comme le rapportent nos confrères de France Info.
Et pour cause, les invités étaient triés sur le volet afin que ces derniers ne posent pas de questions trop polémiques ou problématiques. Pire encore, certaines questions auraient été préparées à l’avance et validées par l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron.
Au QG du candidat, les proches d’Emmanuel Macron démentent fermement cette instrumentalisation : « J’ai constitué un panel représentatif d’habitants. Ils m’ont envoyé des dizaines de questions, j’ai choisi les plus pertinentes » avoue l’un d’eux. « Il n’a pas besoin de ça. Il a prouvé pendant le grand débat qu’il n’était pas du genre à esquiver la confrontation« , défend un autre proche.
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