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« Ils ne sont pas capables de consentir » : Mathilde Panot s’attaque au baptême chrétien des enfants

Publié par Elodie GD le 31 Mai 2025 à 2:34

Invitée à réagir sur un rapport exposant l’influence des Frères musulmans en France, Mathilde Panot risque un parallèle avec le baptême.

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Mathilde Panot dénonce l’islamophobie en France

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Un parti habitué des gros titres. Pas une semaine ne passe sans qu’un élu LFI fasse parler de lui. Cette fois, c’est Mathilde Panot qui fait la Une après ses propos sur la religion catholique. Invitée ce 28 mai sur le plateau de BFMTV, la députée est évidemment interrogée sur la supposée influence des Frères musulmans sur le territoire français. Exposée dans un rapport qui indigne l’élue et ses comparses, elle est dénoncée comme étant « une opération de communication sur un rapport » qu’elle indique être « critiqué par tous les experts du sujet ».

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Mathilde Panot critique la religion catholique

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« Le problème, c’est ce qui a été fait de ce rapport. L’ensemble des musulmans et des musulmanes sont visés« , déplore encore Mathilde Panot.

Dans le même temps, elle fustige Gabriel Attal qui a pour ambition d’interdire le voile aux mineurs de moins de 15 ans. « Ce n’est pas acceptable de voir des petites filles voilées », s’indigne l’ex-Premier ministre et chef des députés macronistes. Considération que sa consœur balaie d’un revers de main.

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« Ils ne sont pas capables de consentir »

Illustrant son propos, elle évoque la religion catholique et le baptême. « Est-ce que c’est acceptable de faire baptiser des enfants à un âge où ils ne sont pas capables de consentir ? Il faut arrêter ! », proteste-t-elle face à la journaliste Neïla Latrous. Un parallèle obscur, sur lequel elle ne se risque d’ailleurs pas à développer, réaliste concernant la fragilité de son raisonnement.

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Oubliant la religion, Mathilde Panot s’attaque finalement à CNews : « Quand vous avez des médias qui parlent 334 sur 365 jours de l’islam dans leur bandeau, je veux dire : ça suffit ».

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« Des gens quittent notre pays parce qu’ils n’en peuvent plus des discriminations », indique-t-elle, rappelant ensuite l’assassinat d’Aboubakar Cissé, témoignage de l’islamophobie ambiante.