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Il se sent mal et ce que le médecin découvre dans son nez le laisse sans voix !

Publié par Elodie Gros-Désir le 25 Fév 2024 à 12:02

Après s’être senti mal, cet habitant de la Floride s’est immédiatement rendu chez le médecin. Quelle ne fut pas sa surprise quand ce dernier lui a assuré « détecter du mouvement » à l’intérieur de son nez. Une mésaventure qu’il n’est pas près d’oublier.

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Nez qui saigne, visage qui gonfle, difficultés à s’exprimer…

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Cent cinquante insectes vivants dans le nez… L’histoire fait froid dans le dos. Tout commence en octobre 2023, quand cet habitant de la Floride commence à se sentir mal. En quelques heures, son visage et ses lèvres gonflent, il ressent une gêne persistante et rencontre des difficultés à s’exprimer.

Un autre élément l’alerte : il ne cesse de saigner du nez. Et aussitôt que les saignements se calment, ils reprennent quand il change de position. Mais que se passe-t-il ?

Soucieux d’en avoir le cœur net, il se rend chez un médecin. Ce dernier procède à quelques examens de routine et finit par lui inspecter l’intérieur du nez. Là, il perçoit du mouvement… Alors, il se saisit d’une caméra, l’introduit dans le nez du patient et découvre l’impensable.

On lui découvre des centaines dans le nez

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Des larves par centaines

Une fois le patient endormi et la caméra introduite, le praticien découvre des centaines de larves d’insectes. Elles sont si nombreuses qu’il en vient à se demander comment elles ont fait pour tenir là sans que leur hôte s’en aperçoive.

Après les avoir enlevées une à une, le médecin arrive à une conclusion. Ce sont les excréments des parasites qui ont entraîné les gonflements et les saignements de nez chez le patient. Autrement, ce dernier aurait continué à se faire grignoter la cloison nasale sans se rendre compte de rien. Toujours selon le professionnel de santé, les larves étaient de taille variable, mais la plus grosse était de la taille du petit doigt d’un adulte… Une information qui fait passer l’envie de déjeuner tout en lisant des articles.

Plus de peur que de mal, heureusement. L’homme s’est vu prescrire des antiparasitaires et devra se plier à des examens quatre fois par an. De son côté, il a confié ne pas toujours avoir été très à cheval sur l’hygiène. Notamment quand il s’agissait de se laver les mains après avoir manipulé des poissons pendant la pêche. Espérons qu’il pensera au lavage de main désormais.

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