La Chronique des Bridgerton : cette scène de sexe qui a été particulièrement difficile à tourner pour l’actrice !

Publié par Claire JONNIER le 04 Fév 2021 à 12:33

C’est le carton de ce début d’année ! En effet, La Chronique des Bridgerton fait succès dans le monde entier. À tel point que du côté de Netflix, on rempile pour une saison 2 qui devrait arriver prochainement. L’occasion pour les acteurs de souffler et de se confier sur le tournage. C’est notamment le cas pour l’actrice principale, Phoebe Dynevor, qui a eu clairement du mal avec une scène de sexe.

La Chronique des Bridgerton : le carton plein !

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63 millions ! C’est le nombre de foyers qui a déjà vu La Chronique des Bridgerton ! Il faut dire que Netflix n’a pas trop pris de risques puisqu’il faut savoir que derrière, il s’agit de la créatrice de « Grey’s anatomy. » Alors évidemment, c’est un carton plein et déjà, la saison 2 est annoncée pour bientôt.

Vous l’avez raté ? Il s’agit de l’histoire de Daphné, la fille aînée d’une riche famille de Londres. Et au fil des 8 épisodes de la série, on découvre peu à peu les secrets de cette petite société. Magnifiquement portée à l’écran par Phoebe Dynevor, cette dernière en a profité pour se confier sur ses premiers pas en tant qu’actrice. Elle a notamment abordé les scènes de sexe dont une qui a particulièrement été difficile à tourner…

Une scène de sexe particulièrement difficile à tourner

Pour Phoebe Dynevor, c’est une nouvelle notoriété qui la prend un peu de cours. Néanmoins, elle joue le jeu et n’hésite pas à raconter ses petits moments de solitude durant le tournage de la première saison. Et si elle avoue franchement que se mettre nue n’a pas été un problème, elle reste plus dubitative sur une scène de sexe en particulier.

« Les directions étaient très spécifiques : tu dois faire comme si tu avais un orgasme. C’est difficile à répéter donc on ne le fait pas » explique-t-elle. Heureusement, elle avait avec elle Lizzie Talbot, une coordinatrice d’intimité. D’ailleurs, c’est ce qui lui a permis de se sentir en sécurité et de pouvoir tourner la fameuse scène sans craindre le regard des autres.« Si nous n’avions pas eu de coordinatrice d’intimité, ça aurait été notre réalisateur, un homme, qui serait venu me voir et m’aurait dit quoi faire. Ça aurait été gênant. (…) » En tous les cas, c’est une très belle prestation que nous devrions retrouver prochainement sur nos écrans !