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Les fêtes clandestines du Nouvel An : ce grand danger qui pourrait entraîner un reconfinement !

Publié par Lucie B le 28 Déc 2020 à 19:15
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Dans le JDD, le ministre de la Santé, Oliver Véran recommande aux Français de ne pas fêter le Nouvel An, afin d’éviter que la situation épidémique s’aggrave et qu’un troisième confinement ait lieu.

Nouvel-An-Paris

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Un avertissement de la part du ministre de la Santé

Dimanche 27 décembre, dans le JDD, le ministre de la Santé, Olivier Véran a exprimé clairement son opinion et sa recommandation pour le Nouvel An.  » Le meilleur moyen de célébrer l’entrée dans la nouvelle année, c’est de ne pas la célébrer«  . Le ministre explique ensuite cette recommandation par le fait que : « on ne peut pas, pour une soirée, prendre le risque de bloquer à nouveau le pays pendant des semaines ».

Olivier Véran n’exclut pas, en effet, en cas de reprise épidémiologique, d’avoir recours à un troisième confinement. « 15 000 contaminations détectés par jour en moyenne, alors qu’on était descendu à 11 000 » , souligne-t-il.

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La peur des fêtes clandestines durant le Nouvel An

Seule la soirée de 24 décembre avait bénéficié d’une dérogation au couvre-feu, en rigueur à partir de 20 heures en France. Pendant le Nouvel An, les autorités craignent que de nombreuses fêtes clandestines aient lieu. Dimanche 27 décembre, quatre fêtes ont été interrompues en Ile-de-France. Pour pallier ce phénomène, de nombreux agents de police seront mobilisés.

En temps normal, ils sont 100 000 à être réquisitionné pour la soirée du Nouvel An. Ils auront comme mission de « faire la chasse aux fêtes sauvages ». « L’enjeu est si important que les forces de sécurité ne seront sans doute pas dans la pédagogie » , prévient Stanislas Gaudon, délégué général du syndicat Alliance Police. Le Dr Imad Kansau, infectiologue à l’hôpital Antoine Béclére de Clamart, confirme que la soirée du Nouvel An sera scrutée par les épidémiologistes. « D’un point de vue épidémiologique, c’est une soirée qu’il ne faut pas rater ».

Source : LCI

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