« C’est terrifiant » : Raymond Aabou victime d’un terrible accident
Suivez nous sur Google News
À l’occasion de l’émission TPMP de ce 27 mars, le chroniqueur Raymond Aabou a évoqué sa plus grande peur. Un récit terrifiant qui n’aura pas manqué de faire frissonner les autres chroniqueurs présents en plateau.
Les plus grandes peurs des chroniqueurs TPMP
Cyril Hanouna et sa bande étaient de retour sur C8 ce 27 mars. L’occasion pour Baba d’évoquer l’audition de Yann Barthès par les députés. Un exercice auquel il s’est prêté avec délectation, s’attardant sur les passages durant lesquels le journaliste apparaissait en difficulté.
Si le sujet a suscité beaucoup d’intérêt chez les téléspectateurs et les internautes, ce n’était pas le temps fort de l’émission pour autant.
Alors que l’émission bat son plein, Baba questionne ses chroniqueurs sur leurs plus grandes peurs. Durant plusieurs minutes, ces derniers ont confié à leurs confrères leurs moments de frayeur les plus extrêmes. Mais l’histoire qui n’a pas manqué de choquer est sans aucun doute celle de Raymond Aabou.
La chute terrifiante de Raymond Aabou !
L’évocation de sa plus grande peur a poussé le quadragénaire à se remémorer un accident. À l’époque, il se trouvait en voiture avec un ami. Ils se rendaient alors à Avignon. Durant le trajet, les deux hommes se rendent compte qu’ils se sont trompés de direction. Rien d’alarmant, il suffit de faire demi-tour et de revenir sur ses pas.
Quelques minutes plus tard, l’ami du chroniqueur, avise une plateforme de sable en bord de route. Il saisit alors l’opportunité et s’arrête pour effectuer son demi-tour. Malgré l’insistance de Raymond Aabou « pour descendre de la voiture pour le diriger », le chauffeur refuse. Il entreprend la manœuvre, faisant une confiance aveugle à son GPS.
Mais les choses se corsent. S’ils sont performants, les GPS ne détectent pas le vide. Et sans surprise, les deux hommes assistent à la chute progressive du véhicule dans le ravin. « Pendant 4 secondes, j’ai entendu le bruit des branches contre la vitre. Un arbre nous a ensuite stoppé », raconte-t-il, précisant qu’il s’est « éclaté le cou », ce qui lui a occasionné de grosses douleurs aux cervicales.
« Le bruit des branches quand on tombe, c’est terrifiant… J’ai eu la peur de ma vie », confie le chroniqueur. Et pour cause, le lendemain, quand ils retournent sur les lieux pour faire estimer les dégâts par l’assurance, ils prennent l’ampleur de la situation. De nuit, ils ne s’étaient pas rendu compte que l’arbre était leur seul espoir. S’il n’avait pas arrêté leur chute, ils auraient fini dans le vide puisqu’aucun autre élément ne les aurait empêchés de tomber. Heureusement, tout est bien qui finit bien pour les deux hommes qui n’oublieront pas de sitôt leur trajet pour Avignon.
