France 5 : ce présentateur tombe sur un cadavre pendant le tournage de son émission
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Le décès d’un être cher et la mort sont des expériences pouvant être traumatisante. Chaque pays a sa propre culture et bien entendu, des manières différentes de faire le deuil et d’enterrer leurs proches. Alors que des employés ont du travailler à côté dû cadavre de leur collègue, en Indonésie, la perte d’un proche et ses funérailles ne s’organisent pas comme en France.
En reportage en Indonésie, Philippe Gougler va se retrouver face au corps d’un homme décédé il y a maintenant 4 ans. Le fils de l’homme décédé en explique les raisons.
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Philippe Gougler se retrouve face à un cadavre en plein reportage
Dans un épisode « Des trains pas comme les autres » , Philippe Gougler s’est rendu en Indonésie pour France 5. Il est notamment parti à la rencontre d’un Torajas afin de comprendre leurs pratiques funéraires. Une manière bien différente de procéder par rapport à la France et à de nombreux pays européens.
Alors que des personnes s’injectent de la graisse de cadavre pour sembler plus jeune, les Torajas ont un rituel bien différent. Et lors du tournage de ce nouvel épisode, le présentateur de France 5 s’est retrouvé face au corps d’un homme décédé depuis maintenant 4 ans. Le cadavre est encore en bon état, mais cela n’empêche pas l’animateur d’être impressionné par cette vision. Mais pourquoi le cadavre de l’homme est présent dans la maison de son fils ? Le Torajas répond aux questions de Philippe Gougler.
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Les morts considérés comme « malade » jusqu’à l’enterrement
Face au cadavre, le présentateur de l’émission ne cache pas sa stupeur. « Il n’est pas malade là, il est mort » s’exclame Philippe Gougler face à la scène. Mais le Torajas le reprend rapidement en indiquant que les morts sont considérés comme malades temps qu’ils ne sont pas enterrés. « Pour nous, il dort. Il se repose » explique l’homme. Mais cela fait maintenant 4 ans que le corps de son père se repose dans son salon. Cependant, ces quatre années n’ont rien à voir avec le rituel.
Le Torajas indique en effet que « ça dépend de la richesse de la famille. Quand tu es riche, tu peux organiser la cérémonie très vite. Sinon, ça prend du temps de réunir l’argent auprès de toute la famille » explique-t-il. Si cette femme aurait lutté pendant une dizaine de jours après son enterrement pour tenter de sortir de son cercueil, le cadavre du vieil homme attend donc d’être enterré pour connaître le repos éternel. En attendant, il « se repose » chez son fils.
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