Disparition d’Émile : son grand-père impliqué ? Son attitude interroge
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Le petit Emile est toujours porté disparu, après sa disparition qui s’est déroulée le 8 juillet dernier, alors qu’il jouait dans le jardin de ses grands-parents dans la région du Haut-Vernet.
L’ambiance est on ne peut plus tendue dans ce petit village d’une centaine d’habitants. Mais depuis quelques heures, c’est l’attitude du grand-père qui est pointée du doigt. Selon le documentaire Enquêtes criminelles diffusé le 17 octobre dernier, il aurait eu une attitude, on ne peut plus choquante envers son petit-fils quelques heures avant sa disparition.
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Émile toujours porté disparu
Le mystère reste entier. Samedi 8 juillet 2023, en fin d’après-midi, les Français apprennent dans les médias la disparition d’un petit garçon, Émile, âgé de 2 ans. Rapidement, sa petite bouille blonde est diffusée en masse et tous n’espèrent qu’une chose, qu’il soit retrouvé vivant.
Dans la région du Haut-Vernet, tout le monde se mobilise. En effet, tout le monde pense que le petit garçon, qui jouait dans le jardin de ses grands-parents, va être retrouvé dans les heures à venir. De par son jeune âge, il ne peut évidemment pas parcourir des kilomètres à pied tout seul.
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L’attitude du grand-père pointée du doigt
Mais plus le temps passe, plus le mystère s’épaissit concernant sa disparition. Cela fait bientôt quatre mois que le petit garçon n’a pas donné de signe de vie. Et la semaine dernière, le 17 octobre 2023, W9 a diffusé un nouveau numéro d‘Enquêtes criminelles.
Dans ce dernier, c’est l’attitude du grand-père qui est pointée du doigt. Nicolas Daguin, reporter pour Le Figaro explique : « Le grand-père d’Émile va parfois se montrer un peu dur avec certains bénévoles, à rouspéter, à gronder. Au départ, le grand-père d’Émile va presque avoir une attitude qui montre qu’il en voudrait presque à Émile, finalement ».
Il poursuit : « Mais aussi, sans doute, parce qu’à ce moment-là, il n’imagine pas qu’on ne retrouvera pas son petit-fils. Mais c’est vrai que cette attitude est un peu mal comprise, par les enquêteurs d’une part et puis par les bénévoles qui sont sur place ».
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