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Camille Lellouche : ses bouleversantes confidences sur ses addictions

Publié par Jeanne Ferry le 07 Mar 2024 à 6:04

Ce mercredi 6 mars 2024 est un grand jour pour Camille Lellouche. Pour cause, elle a décidé de se confier à coeur ouvert face à ses fans.

Elle dévoile son autobiographie, Tout te dire aux éditions Stocks. Et dans ce dernier, elle se confie comme rarement sur de nombreux sujets et notamment sur son combat contre l’alcoolisme.

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© Capture d’écran Canal+
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Camille Lellouche et sa belle revanche sur la vie

Ce n’est plus un secret pour personne, Camille Lellouche n’a pas toujours une vie facile. En effet, bien qu’elle fasse désormais partie intégrante des chanteuses et humoristes françaises les plus connues, son parcours a été semé d’embûches.

Elle a notamment été victime de violences conjugales pendant de nombreuses années qui l’ont mises plus bas que terre. Fort heureusement, elle a réussi à s’en sortir et a aujourd’hui un compagnon avec lequel elle est épanouie.

Pour preuve, ils ont même accueilli il y a quelques mois une petite Alma. Malgré un accouchement assez difficile, Camille Lellouche profite de son nouveau rôle de mère chaque jour.

Son combat contre l’alcoolisme

Et sa rencontre avec le père de sa fille l’a également permis de mettre de côté d’autres démons comme son combat contre l’alcoolisme. En effet, comme elle le confie dans son livre, Camille Lellouche a longtemps eu une addiction à l’alcool.

Une addiction qui a débutée alors qu’elle travaillait en restauration, à La terrasse des archives : « Je commence à boire énormément et je plonge dans une habitude qui va devenir une addiction pendant trois ou quatre ans. (…) Boire devient la règle. À 14 heures, je débute par un petit quart de sancerre blanc pour me détendre avant de commencer le travail à 16h30″.

Camille Lellouche poursuit ensuite : « Puis à la fin, je bois régulièrement des shots pour relâche la pression du service. Après le travail, la fête continue dans les bars et les restaurants ouverts toute la nuit. J’atteins le stade de l’alcoolisme sans symptôme et je suis capable d’absorber une bouteille de vodka sans aucune trace d’ivresse ».