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Tir mortel d’Alec Baldwin : la vidéo des derniers instants avant la mort d’Halyna Hutchins dévoilée

Publié par Celine Spectra le 26 Avr 2022 à 14:07

Ce lundi 25 avril, la police de Santa Fe a accepté de dévoiler de nombreux documents liés à la mort d’Halyna Hutchin. Dont notamment plusieurs vidéos réalisées sur le tournage de Rust.

Affaire Baldwin : la vidéo des derniers instants avant la mort d'Halyna Hutchins dévoilée

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Les derniers moments d’Halyna Hutchins en vidéo !

Ce drame a considérablement marqué Hollywood ! En effet, il y a quelques mois, alors qu’il tournait un western au Nouveau-Mexique, Alec Baldwin a accidentellement abattu Halyna Hutchins. Il a par ailleurs blessé Joël Souza, réalisateur du film. Alors que l’enquête continue, la police de Santa Fe a accepté de dévoiler ce lundi 25 avril de nombreux documents liés à cette affaire.

La vidéo du jour

Parmi les vidéos rendues publiques, il existe notamment un enregistrement réalisé par les secours qui ont bataillé pour essayer de sauver la vie d’Halyna Hutchins. Sur ces images, on peut ainsi voir la jeune femme inconsciente, gisant sur le sol, alors que les médecins s’activent autour d’elle.

Il s’entraine à dégainer et pointe son arme vers la caméra !

Sur d’autres vidéos publiées par les enquêteurs, Alec Baldwin manipule l’arme qui a abattu Halyna Hutchins quelques minutes avant le drame. Le comédien s’entraine alors à la dégainer, puis à la pointer vers la caméra. Après le tir mortel, l’acteur apparait également dans d’autres enregistrements alors qu’il demande des nouvelles d’Halyna Hutchins.

Sur un autre document, on peut le voir face à des officiers de police qui lui demandent de ne rien dire aux membres de l’équipe avant d’avoir été auditionné. Il déclare également aux forces de l’ordre que qu’il ne se sent pas bien. 

« Quelqu’un a mis une vraie balle », avoue-t-il par ailleurs à la police. Puis, il revient sur la grève qui a secoué le tournage. « Beaucoup de personnes sont parties, même si on leur avait déconseillé de le faire. », a-t-il confié lorsque les forces de l’ordre lui ont demandé si l’un des grévistes pouvait avoir chargé l’arme par vengeance.