Jean-Paul Belmondo : ce rêve qu’il n’a jamais réussi à réaliser avant sa mort…
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Personne n’oubliera jamais Jean-Paul Belmondo. Véritable emblème du cinéma français et international, Bebel, de son surnom, laissait derrière lui ses proches et l’ensemble de ses fans il y a un an, presque jour pour jour. S’il reste dans les têtes et les cœurs de tous, c’est aussi car chacune des personnes qui le connaissaient personnellement apprécient raconter de tendres anecdotes qu’ils ont pu vivre avec lui. En témoigne cette confidence de Jeff Domenech, l’un de ses plus proches collaborateurs au cinéma…
Jean-Paul Belmondo, ce rêve qu’il n’aura pas réussi à réaliser
Nous tous, dans nos vies, détenons des rêves que nous souhaitons réaliser. Souvent, certains ne sont pas assouvis, tant la vie est pleine de surprises, bonnes comme mauvaises. Et le très célèbre Jean-Paul Belmondo n’est pas une exception. En effet, alors qu’il est mort depuis un an, très précisément, ses proches ne cessent, depuis, de divulguer de délicieuses anecdotes sur la vie de l’acteur.
Dernièrement, c’est un réalisateur ayant travaillé à de nombreuses reprises avec Jean-Paul Belmondo qui s’est confié. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’a pas manqué de nous apprendre des choses. Tout particulièrement concernant le rêve que le célèbre acteur voulait absolument réaliser : « Il rêvait de finir sa carrière au théâtre ».
Marcher sur les planches avec la nouvelle génération
En effet, Jeff Domenech a collaboré avec l’acteur dans le cadre de documentaires axés sur la vie et la carrière de ce dernier. Une proximité qui, au fil des années, a donné lieu à une amitié des plus sincères. « Il aurait voulu croiser le fer avec la jeune générations d’acteurs. Dujardin, Lellouche, Canet… », expliquait-il ainsi au cours d’une récente interview.
Des propos qui, finalement, ne nous surprennent pas, tant Jean-Paul Belmondo était attaché à sa passion qui, chaque jour de sa vie, le faisait vibrer. Ce Bebel nous manque, mais nous nous devons de respecter ses dernières volontés : « Ne soyez pas tristes quand je ne serai plus là car j’ai eu une belle vie d’homme heureux ». À vos ordres !
