Jessica Thivenin : harcelée par les fans à l’hôpital, elle vit un drame

Publié par Jeanne Ferry le 28 Mai 2021 à 21:27

Jessica Thivenin vit une période des plus compliquées. Et pour cause, la jeune femme doit faire face à une nouvelle grossesse difficile, l’obligeant à subir de nombreuses hospitalisations. Mais alors que la candidate de télé-réalité est hospitalisée pour se reposer tranquillement, elle doit faire face au harcèlement des fans. Une situation qui évidemment l’agace énormément et elle a décidé de pousser un violent coup de gueule dans sa story. Découvrez-la dans la séquence en vidéo ci-dessous :

Un nouveau coup dur pour Jessica Thivenin

Une triste impression de déjà-vu pour Jessica Thivenin. Il y a quelques mois maintenant, la jeune femme donnait naissance à son fils Maylone. Mais malheureusement, tout ne s’est pas passé comme prévu. Et pour cause, son bébé était trop fragile et la jeune femme a dû être alitée pendant de longues semaines pour être sûre que tout se passe bien.

Lorsque le petit garçon est né, elle pensait qu’elle allait être tirée d’affaire, mais les ennuis ont continué et le petit garçon a dû être opéré d’urgence à sa naissance.

Elle dit stop !

C’est donc avec beaucoup d’appréhension que Jessica Thivenin vit sa deuxième grossesse. La jeune femme avait évidemment peur que le schéma se reproduise, et malheureusement pour elle, la compagne de Thibaut doit faire face à quelques complications.

Récemment, elle a dû être hospitalisée une nouvelle fois. Et en plus de cette terrible nouvelle, la candidate des Marseillais doit faire face au harcèlement des fans ! Sur son compte Instagram, elle a décidé de pousser un coup de gueule, leur demandant également d’arrêter : « Je suis sous surveillance à l’hôpital en attendant que le sang arrête de couler. Je suis stable. Pour l’instant ma fille va bien, son petit cœur bat et il y a encore assez de liquide. Je suis dégoûtée car j’étais bien chez moi avec mon fils… S’il vous plaît, ne venez pas dans ma chambre d’hôpital pour me demander des photos ! La dernière fois, on a été obligés de bloquer les portes. »