Yannick Noah : Un fantôme vient lui rendre visite la nuit !
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Ce jeudi 16 février, la légende du tennis et chanteur, Yannick Noah, a accordé une interview à Gala. L’artiste a révélé être la réincarnation de son grand-père. Son ancêtre est venu lui parler dans la nuit, alors qu’il a disparu en 1984.
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Yannick Noah, chef d’un village camerounais
L’année 2022 de Yannick Noah s’est terminée d’une bien belle manière. Après avoir fêté le mariage de son fils Joakim, l’ex-sportif a, lui aussi, trouvé l’amour dans les bras de la jeune Malika, 35 ans. À l’inverse, par contre, sa fille Eleejah a été mise en garde à vue après s’être procuré de la cocaïne.
Dernièrement, ses origines ont une importance toute particulière pour Yannick Noah. Elles sont chargées d’histoire. L’ancienne personnalité préférée des Français n’hésite pas à emmener ses cinq enfants au Cameroun. Désormais, il vit là-bas. Il endosse le rôle de chef du village, statut qu’il a hérité de son grand-père. Il a même dernièrement accueilli Emmanuel Macron lors de la visite du président dans son pays.
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Son grand-père lui rend visite dans la nuit…
Ce jeudi 16 février, l’interprète de Saga Africa, officier de la légion d’honneur, s’est confié au micro de Gala. Dans cet entretien, il assure être la réincarnation de son grand-père. L’ancien gagnant de Roland-Garros avoue avoir pris ça à la légère au début : « Quand on m’a raconté ça, j’avais 6 ou 8 ans et ça me passait au-dessus de la tête. […] Pour moi, c’était comme un jeu, mais je savais combien c’était important pour lui » . L’artiste de 62 ans souligne que son grand-père lui disait : « Tu sais, même après la mort, je serai toujours avec toi » .
Une présence qui a vraisemblablement fin par se réaliser des années plus tard. À noter que le grand-père de Yannick Noah est décédé en 1984. L’ancien capitaine de l’équipe de France de Coupe Davis raconte : « Un matin, à l’aube, je suis réveillé en sursaut. […] Je me dis : ‘Il y a quelqu’un dans la chambre, c’est sûr !’ » . Quand il se relève, il a le « sentiment d’un moment de grâce » .
Il l’assure : « J’entends mon grand-père me dire : ‘Yannicko! Ça va ? Tu sais que je suis toujours avec toi, n’est-ce pas ? Comme je t’avais dit, continue de t’occuper de la famille’ » . Une expérience avec le surnaturel qu’il a pris avec positivité. Apaisé, il souligne : « Je crois que ça m’a permis d’être conscient que la reconnaissance, les applaudissements qui comblaient en moi une sorte de manque affectif, un jour, ça s’arrête et ce jour-là, il faut continuer d’avancer » .
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