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📢 Un médecin révèle le signe n°1 qui pourrait prédire Alzheimer avant qu’il ne soit trop tard

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Le diagnostic de la maladie d’Alzheimer est souvent posé trop tard, réduisant les chances d’anticipation. Pourtant, un signe bien précis pourrait permettre de détecter la maladie plus tôt. Le Dr Robert Love, spécialiste en prévention, met en avant trois signaux d’alerte essentiels à surveiller.

💡Un diagnostic souvent tardif

Le diagnostic de la maladie d’Alzheimer est souvent posé trop tard, limitant les possibilités d’anticipation et de prise en charge. En France, 900 000 personnes sont touchées par cette pathologie neurodégénérative, qui affecte notamment la mémoire, la pensée et la parole. Elle entraîne une perte d’autonomie progressive, rendant les tâches quotidiennes de plus en plus complexes.

Le Dr Robert Love, spécialiste de la prévention de la maladie d’Alzheimer, met en lumière trois signes précurseurs qui pourraient permettre de repérer la maladie plus tôt. Une détection précoce permettrait d’améliorer l’accompagnement médical et le bien-être des patients, tout en offrant aux familles une meilleure préparation.

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🔍 Un trouble du langage, premier signe à surveiller

Parmi les symptômes qui doivent alerter, la difficulté à trouver ses mots ou des noms est le premier signe identifié. Ce phénomène peut survenir dans une conversation et se manifester par un hésitation inhabituelle ou la substitution d’un mot par un autre.

Avec le temps, ces troubles du langage peuvent s’intensifier, rendant difficile l’expression d’idées ou la compréhension de phrases simples. Les proches peuvent remarquer des pauses fréquentes dans les discussions ou une tendance à utiliser des descriptions vagues plutôt que des termes précis.

Toutefois, il est essentiel de faire la distinction entre un oubli anodin, lié au stress ou à la fatigue, et une perte de vocabulaire récurrente qui s’aggrave avec le temps. Une consultation médicale est recommandée si ces troubles deviennent plus fréquents.

📝 Oublier où l’on pose ses objets

Autre symptôme souvent observé : le fait d’égarer régulièrement des objets. Il ne s’agit pas de simples oublis ponctuels, mais bien de pertes fréquentes et inexpliquées, parfois accompagnées d’une incapacité à retrouver les objets même après une recherche approfondie.

Les patients peuvent ranger des objets dans des endroits inhabituels, comme mettre des clés dans le réfrigérateur ou un téléphone dans un tiroir à couverts. Ce comportement témoigne d’un trouble de l’organisation cognitive qui impacte la gestion des espaces et la reconnaissance des lieux familiers.

Ce type de symptôme peut dénoter un trouble de la mémoire spatiale, impactant la capacité à se repérer et à se souvenir des gestes du quotidien. Une désorientation progressive peut aussi survenir, rendant difficiles les déplacements dans des lieux connus.

🤖 Difficultés avec les chiffres et l’argent

Le troisième signe avant-coureur identifié concerne la gestion des chiffres et des finances. Une personne atteinte d’Alzheimer peut éprouver des difficultés soudaines à :

• Faire des calculs simples (addition, soustraction)
• Gérer son argent (compter la monnaie, payer ses achats)
• Comprendre ses relevés bancaires

Cette incapacité à gérer des tâches financières peut rapidement avoir un impact sur l’indépendance quotidienne. Certains patients peuvent oublier de payer des factures ou effectuer des achats répétitifs sans s’en rendre compte.

Lorsque ces troubles apparaissent sans raison apparente et persistent, ils doivent être pris au sérieux et motivent une consultation médicale. Les proches doivent être attentifs à ces signes, particulièrement s’ils s’accompagnent d’autres difficultés cognitives.

🍳 Manger des œufs pour prévenir la démence ?

Certaines habitudes alimentaires pourraient jouer un rôle dans la prévention de la démence. Une étude publiée en 2024 dans la revue Nutrients a montré que la consommation d’œufs pourrait réduire le risque de développer une démence.

Les chercheurs ont suivi 233 personnes atteintes de démence et 233 en bonne santé. Ils ont observé que les participants mangeant des œufs quotidiennement avaient un risque significativement plus faible de développer cette pathologie. Ceux qui en consommaient une fois par semaine avaient deux fois plus de risques que ceux qui en mangeaient deux par jour.

Les œufs sont riches en choline, un nutriment essentiel pour le bon fonctionnement du cerveau. Cette molécule joue un rôle clé dans la communication entre les cellules nerveuses, ce qui pourrait expliquer son impact positif sur la santé cognitive.

Si l’alimentation seule ne suffit pas à prévenir la maladie, adopter une bonne hygiène de vie (alimentation équilibrée, activité physique et stimulation cognitive) pourrait contribuer à retarder son apparition.

💪 La clé ? Un suivi médical régulier et une attention aux signaux d’alerte pour anticiper la maladie au plus tôt.