Déconfinement : sur quels créneaux horaires pouvez vous prendre les transports en commun sans attestation ?
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Dès lundi, les mesures de déconfinement sont mises en place afin d’éviter une deuxième vague de contamination. Une attestation est disponible afin d’emprunter les transports en commun en étant en règle. Découvrez la nouvelle organisation à suivre, au risque d’être pénalisé de 135€ d’amende.
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Le déconfinement en Île-de-France
À partir de lundi, les procédures de déconfinement vont débuter. Comme prévu, les salariés d’Île-de-France, qui ne peuvent pas faire autrement que prendre les transports en commun, devront être en possession d’une attestation de leur employeur. Cette attestation est désormais obligatoire pendant les heures de pointe, soit 6h30-9h30 et 16h-19h pour limiter le flux de voyageurs.
Les contrôles ne seront effectués que durant ces plages horaires, assure Valérie Pécresse, relayée par Capital. Toutefois, la présidente de la région révèle qu’ « il y aura une tolérance dans les premiers jours, l’objectif n’est pas la verbalisation mais de donner priorité à ceux qui ont absolument besoin des transports en commun, ceux qui vont travailler ».
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Les transports en commun accessibles à tous pendant le déconfinement
Bien évidemment, les transports en commun restent accessibles à tous et sans attestation, en respectant toutefois les mesures de sécurité et les plages horaires dédiées. Pour ce faire, 2 millions de masques vont être distribués dans 400 gares d’Île-de-France à partir de ce samedi et ce pendant les premières semaines de déconfinement.
Ainsi, les voyageurs qui doivent emprunter les transports pour aller faire leurs courses pourront y aller de 9h30 à 16h et 19h à 6h30 du matin. Toutefois, toutes les personnes qui peuvent faire du télétravail, doivent préférer ce mode de travail. De même que le covoiturage ou le vélo sont des modes de transport privilégiés. Valérie Pécresse conclut en essayant de positiver : « de cette crise peuvent naître de nouvelles habitudes, une nouvelle organisation du travail et si c’est le cas, peut être cette crise aura été un bienfait pour la qualité de vie en Ile-de-France ».
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