Achraf Hakimi accusé de viol : son ex-femme sort du silence
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Visé par une accusation de viol par une jeune femme de 24 ans, le joueur du PSG a été mis en examen, ce 2 mars dernier. Hiba Abouk, l’ancienne épouse d’Achraf Hakimi, a pris la parole pour la première fois auprès du magazine El País.
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« Un besoin urgent » de s’expliquer
C’est un nouveau bouleversement dans le monde du ballon rond. Achraf Hakimi, joueur du Paris Saint-Germain, avait été accusé de viol par une jeune femme de 24 ans, le 27 février dernier. Le Parisien avait toutefois indiqué que cette dernière n’avait pas porté plainte. Cependant, l’alerte avait entraîné une mise en examen du footballeur par le parquet de Nanterre. Il est depuis placé sous contrôle judiciaire.
Si Achraf Hakimi avait démenti les faits qui lui sont reprochés, un nouveau témoignage vient s’ajouter à l’affaire. En effet, l’actrice Hiba Abouk, a décidé de briser le silence près d’un mois après l’ouverture de l’enquête. Aujourd’hui en instance de divorce avec le joueur, elle s’est confiée au périodique El País, mais également dans une story Instagram, ce lundi 27 mars.
« Je me sens obligée de rendre cette déclaration publique pour exprimer mon état d’esprit et clarifier la désinformation qui circule », a-t-elle déclaré. Ayant eu deux garçons avec le footballeur, elle affirme avoir eu « un besoin urgent » de s’expliquer « afin de pouvoir reprendre (sa) vie personnelle, publique et professionnelle de la manière la moins nocive et traumatisante possible, en protégeant (ses) enfants avant tout, qui sont (sa) priorité absolue ».
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L’ex-femme d’Achraf Hakimi « toujours du côté des victimes »
Alors que le couple a décidé de se séparer après trois ans de mariage, ce choix est néanmoins intervenu avant l’affaire. « Le père de mes enfants et moi avons pris la décision de mettre fin à notre relation bien avant les événements survenus », a-t-elle précisé.
« Après avoir pris la décision de se séparer légalement et de cesser de vivre ensemble, en attendant la procédure de divorce, qui aurait imaginé qu’en plus d’affronter la douleur bien connue qu’implique une séparation, et d’accepter le chagrin de l’échec d’un projet familial (…) il faudrait que j’affronte cette ignominie », a-t-elle poursuivi.
Si Hiba Abouk a « eu besoin de temps pour digérer ce choc », cette dernière a affirmé avoir « toujours été du côté des victimes », dans son communiqué partagé au magazine. Elle conclut : « Il reste à faire confiance à la bonne conduite de la justice, surtout compte tenu de la gravité de l’accusation ».
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