« C’était son harem » : une ancienne conquête de Cédric Jubillar balance sur son étrange comportement
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La récente clôture de l’enquête a de nouveau attiré l’attention sur Cédric Jubillar. Ainsi, depuis le mois d’octobre, articles et reportages pullulent sur l’affaire. Certains, comme celui réalisé par RMC Story, se focalisent sur la personnalité du suspect. À l’antenne, la chaîne a recueilli le témoignage de l’une des conquêtes de Cédric Jubillar.
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Cédric Jubillar à la tête d’un « harem » ?
Avide d’épanouissement, Cédric Jubillar n’a pas lésiné sur les conquêtes après la disparition de son épouse. Des conquêtes qui, une fois le trentenaire suspecté, n’ont pas hésité à livrer leurs réserves à son égard.
C’est le cas de celle que RMC a baptisée Sandra. Une femme qui l’a contacté sur les réseaux sociaux, et avec qui il a échangé quelque temps. À travers son témoignage, elle décrit un homme désireux de profiter de la vie, de ses amis, mais aussi des nombreuses femmes avec lesquelles il entretenait des relations virtuelles.
« Il avait des femmes en ligne tous les soirs et il rigolait avec elles. Il les appelait, et il se vantait que pour lui, c’était un peu comme ses prétendantes, c’était son harem » , a-t-elle raconté.
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« Bridé par une femme pendant des années »
Elle se souvient également d’un homme constamment entouré, qui revendiquait sa liberté après une vie de couple dans laquelle il s’est senti « bridé ». « Chez lui, c’était techno à fond et rap US. Il recevait des potes, prenait l’apéro. Il vivait sa meilleure vie. Il disait qu’il se sentait bridé par une femme pendant des années et il ne voulait pas que ça recommence » , a continué Sandra.
Selon ses dires, l’homme n’ignorait rien de ce qui se disait à son sujet. Que ce soit dans les médias ou en ligne. Et ce, grâce à un système bien rodé d’informateurs. « Il disait qu’il envoyait des gens sur les réseaux sociaux, en sous-marin, pour recueillir tous les propos à son encontre » , a-t-elle confié.
Elle a ajouté : « Il disait que comme ça, il allait pouvoir porter plainte pour diffamation. Que comme ça, il finirait de payer sa maison. Pour lui, les gens qui parlaient étaient jaloux. Je me suis demandée : jaloux de quoi ? Tu viens de perdre ta femme, tu ne sais pas où elle est… Franchement… » .
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