Tragédie à Paris : Un piéton perd la vie après avoir été fauché un policier
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Dans les rues de Paris, un événement tragique est survenu. Un piéton a perdu la vie après avoir été percuté par un policier de la Brav-M, une unité de police souvent au cœur des controverses.
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Un piéton fauché par un policier
L’accident, survenu avenue de Flandre dans le 19ème arrondissement, a secoué la capitale. Selon les premières informations, un policier à moto aurait tenté d’éviter un autre véhicule lorsqu’il a heurté un piéton qui traversait. Grièvement blessé, le piéton aurait rendu son dernier souffle à l’hôpital.
Selon une source policière auprès du Parisien, la victime serait « un homme âgé qui était très alcoolisé » . Selon Mediapart, les policiers présent sur le lieu de l’accident assurent que « le motard n’aurait pas pu éviter ce passant, une bouteille à la main, semblant ivre, sinon il aurait emplafonné une camionnette garée en double file » . Ils défendent leur collègue en affirmant qu’il ne roulait pas à une vitesse « excessive » .
L’enquête sur cet incident a été confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) et au Service de traitement judiciaire des accidents (STJA). Les circonstances exactes de l’accident et la responsabilité du policier impliqué doivent être éclaircies.
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La Brav-M de nouveau dans la tourmente
Le policier concerné fait partie de la La Brigade de Répression de l’Action Violente Motorisée (Brav-M). C’est une unité spéciale de la police française, principalement active à Paris.
Créée pour répondre à des situations spécifiques de maintien de l’ordre, notamment en contexte de manifestations et de mouvements sociaux, la Brav-M a fait l’objet de plusieurs controverses et polémiques.
Elle a notamment été critiquée pour son usage jugé excessif de la force lors des manifestations. Des vidéos et témoignages circulant sur les réseaux sociaux et dans les médias ont parfois montré des interventions brutales. Elle a ainsi été au coeur des débats sur la violence policière en France. Suite à des accusations de mauvaise conduite, des enquêtes internes ont déjà été menées par l’IGPN.
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