La porte d’un four géant se renferme sur lui, il meurt et personne ne s’en aperçoit

Publié par Hannah Maline le 10 Sep 2023 à 10:34

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Ce pauvre homme pensait vivre une journée comme les autres. Mais faute d’attention, il se retrouve enfermé dans un four géant industriel. Une mort dans d’horribles conditions s’ensuit et personne ne s’en est rendu compte.

Alan Catterall était un brave travailleur. Alors qu’il se rendait à son travail, dans une usine de fabrications de kayaks dans le Cheshire au Royaume-Uni, le pire allait lui arriver. L’homme nettoyait la porte d’un four géant, jusqu’à ce que celle-ci se renferme sur lui.

Le pauvre homme était dans l’incapacité de se sortir de ce piège qui lui a coûté la vie. Il a sans nul doute connu une mort atroce et subi des douleurs insoutenables. Il a « cuit vivant » , comme le relève le podcasteur M. Ballen.

Un collègue a allumé le four avec Allan à l’intérieur

Alan s’est retrouvé bloqué dans le four. Il était loin d’être seul à l’usine ce jour-là. Sauf que personne ne s’est aperçu de la présence d’Allan dans la machine. Si bien que ses collègues faisaient leur travail habituel.

Mark Francis, travailleur dans la même structure, a donc allumé le four industriel, sans savoir qu’un drame terrible arriverait. « C’est ainsi que, hurlant de douleur et frappant la porte en y laissant sa peau à chaque coup, Alan s’est finalement effondré sur le sol dans une douleur inimaginable alors qu’il cuisait vivant » , précise M. Ballen.

Le destin du pauvre homme était déjà scellé. Les flammes ont puisé toutes les forces d’Alan le laissant dans l’incapacité de se débattre davantage. Le feu a rapidement englouti le travailleur, puis de la fumée noire s’est échappée de son corps. Le sol de l’usine a donc été enseveli de cette façon. C’est seulement avec l’indication de la fumée noir au sol que les personnes présentes ont été alertées.

Ce drame a retourné tous les collègues du défunt, ainsi que sa femme, Pearl, avec qui il travaillait. La veuve ne tient aucunement Mark comme responsable, mais elle ne peut ignorer les conditions de travail médiocres auxquelles ils font face à l’usine.

Les circonstances atroces du décès

Une fois le four en marche, Alan savait qu’il avait peu de chances de s’en sortir. Mais il tentait tant bien que mal de sauver sa peau. Alors, il a puisé toutes les forces qu’il lui restait pour essayer de frapper du mieux qu’il pouvait sur les parois intérieures du four grâce à un pied de biche.

Mais il était déjà trop tard. « Les parois du four ont dû être chauffées au rouge et le pied de biche qu’il utilisait pour essayer d’ouvrir la porte a dû devenir si chaud qu’il n’aurait pas pu le tenir » , rapporte M. Ballen.

Comme l’explique l’expert, le sol du four était sans aucun doute brûlant. Les chaussures d’Alan auraient alors commencé à fondre, et l’air serait rapidement devenu irrespirable.

Les derniers souffles du travailleur ont été rendus dans des circonstances atroces, avec une multitude de collègues à proximité. Mais personne n’a pas sauver ce pauvre homme car personne ne s’est aperçu qu’Alan était enfermé dans ce piège…