Anne-Sophie Lapix en froid avec Emmanuel Macron ? Elle donne sa version des faits !
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Voir une personnalité politique se rendre sur le plateau de télévision de France 2 donne déjà une certitude : la personne choisie pour l’interviewer ne sera pas Anne-Sophie Lapix. Depuis plusieurs années, la journaliste entretient des rapports assez aiguës avec les politiques. La faute, probablement, à un franc parler parfois trop offensif. Si les dernières rumeurs évoquaient récemment la volonté de l’Élysée de la voir être licenciée, la présentatrice du 20 heures a répondu…
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Anne-Sophie Lapix, la mise au point
Ce n’était plus un secret pour personne : Anne-Sophie Lapix n’occupe pas du tout une place prépondérante dans le cœur d’Emmanuel Macron. Si le chef de l’Etat n’entretient pas forcément d’excellents rapports avec le groupe France Télévisions, beaucoup tentaient de l’expliquer par, notamment, les mauvaises relations qu’il pouvait partager avec la présentatrice du 20 heures. Fatiguée par les fausses informations véhiculées à tout bout de champ, elle a finalement tenu à mettre les choses au clair.
« Je ne me dis pas qu’il ne m’aime pas car je ne ramène pas cela à moi. Je pense que c’est une ambiance générale, par rapport au service public », explique ainsi Anne-Sophie Lapix dans une interview durant laquelle les questionnements à ce sujet ont forcément fusé. Emmanuel Macron aurait donc un problème avec les chaînes financées par la France ? C’est ce que la journaliste laisse sous-entendre…
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Anne-Sophie Lapix a donné sa version des faits.
Emmanuel Macron n’aimerait pas le service public
C’est un peu le comble quand on sait que le groupe France Télévisions est lui-même financé… par l’État dirigé par Emmanuel Macron. Et pourtant… Selon Anne-Sophie Lapix, le président de la république n’apprécierait guère le groupe télévisuel du service public. Radin à ce point, le président ? « L’exécutif a du mal avec le service public… parce que c’est public. C’est de l’argent de l’État mais ça ne veut pas dire que c’est le service de communication de l’État », a-t-elle fini par conclure. Bon, visiblement, chacun se renvoie la pareille…
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