Braquage chez Bruno Guillon : un ancien cambrioleur dévoile ses hypothèses sur ce qui s’est passé
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Bruno Guillon a été victime d’un cambriolage armé. Séquestré avec ses proches, il a vécu une nuit d’enfer. Sur TPMP, le sujet a été abordé avec un ancien cambrioleur, David Desclos, devenu aujourd’hui humoriste.
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Bruno Guillon victime d’un terrible cambriolage
Bruno Guillon est revenu ce matin sur Fun Radio sur la terrible agression qu’il a vécue chez lui. Des cambrioleurs l’ont ligoté avec sa femme et se sont emparés de nombreux objets de valeur. Cette scène a traumatisé la famille.
Les voleurs sont entrés en pleine nuit en brisant la vitre de la chambre d’amis. Ils ont ensuite menacé l’animateur avec une arme. L’affaire a évidemment fait le tour des médias et a ainsi été évoquée dans TPMP.
L’émission de Cyril Hanouna a décidé de convier David Desclos, ancien grand cambrioleur devenu humoriste, pour mieux comprendre ce qui s’était passé.
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Un braquage bien préparé et ciblé ?
David Desclos n’a d’abord pas semblé surpris que l’animateur soit ciblé : « Il y a au minimum des bijoux, des objets de valeur, des sacs. Ce qui se dit maintenant c’est qu’il y a peut-être plus à prendre chez les stars que dans les banques. Dans les banques, il n’y a plus d’argent » .
S’il condamne bien évidemment ce genre de délits, l’humoriste sait de quoi il parle : il aurait cambriolé Jean-Paul Belmondo par le passé. « À cette époque-là, c’était les secteurs, on allait dans les endroits où on savait qu’il y avait de l’argent. J’avais fait mes repérages, moi c’était sans arme sans violence, j’étais un Arsène Lupin, spécialiste de la failles, rentrer sans qu’on me voit » , a-t-il raconté concernant cette ancienne affaire.
L’ex-détenu a ensuite partagé son analyse sur la technique des malfrats qui ont pénétré chez Bruno Guillon. Il est persuadé que les cambrioleurs savaient très bien chez qui ils allaient. « Je pense que c’est un coup qui a été donné, ensuite il y a eu des gros repérages pour savoir par où passer, repérer la fenêtre… C’est millimétré, c’est pas fait n’importe comment. Tout est calculé à l’avance. Quand ils arrivent, ils frappent, ils ne veulent pas faire une seule erreur » .
Concernant l’extrême violence du cambriolage, il a également donné son analyse : « Il y a plusieurs styles de braqueurs. Vous avez le style de braqueurs qui ont besoin que les gens soient là, ils braquent, des fois, ça je sais pas l’enquête le dira, par exemple, ils le font parler pour savoir s’ils n’ont pas de coffre-fort à ouvrir chez lui, savoir où il planque l’argent, ils n’ont pas le temps donc ils font peur » .
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