Iris Mittenaere : en larmes, elle dévoile les nombreuses critiques reçues sur son poids
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Iris Mittenaere va dévoiler son nouveau projet des plus étonnants. Mercredi 28 février 2024, l’ancienne Miss France sera à l’affiche de la nouvelle série Influence(s), disponible sur Prime vidéo et qui suit sa vie, ainsi que celle de son chéri, Diego El Glaoui, directeur d’une agence d’influenceurs.
Et dans un extrait diffusé sur le compte Instagram de la plateforme, Iris Mittenaere se confie, non sans émotion, sur les nombreuses critiques qu’elle a pu recevoir sur son physique.
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Le nouveau projet d’Iris Mittenaere et Diego El Glaoui qui fait parler
Iris Mittenaere et Diego El Glaoui vivent une belle histoire d’amour depuis 2019. Une rencontre qui s’est faite lors d’un rendez-vous professionnel puisque le second est directeur d’une agence d’influence.
Désormais, ils vivent ensemble et travaillent ensemble puisque l’ancienne reine de beauté a signé dans l’agence de son chéri.
Une vie à mille à l’heure que les caméras de Prime vidéo ont décidé de suivre. Ce mercredi 28 février 2024, la série documentaire Influence(s) sera disponible sur la plateforme.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cela fait déjà parler. Pour cause, dans la bande-annonce, les internautes ont découvert un passage où Diego El Glaoui parle très mal à sa chérie, ce qui les a grandement agacés.
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Iris Mittenaere se confie sur les critiques reçues sur son poids
Pour faire la promotion de la série comme il se doit, Prime vidéo vient de dévoiler un nouvel extrait sur Instagram et ce dernier est pour le moins émouvant.
En effet, Iris Mittenaere se confie face caméra sur les nombreuses critiques qu’elle a pu recevoir sur son poids lorsqu’elle était plus jeune et cela la marque encore.
Des insultes surtout présentes à l’école par d’anciens camarades. « Ils m’appelaient ‘pique à brochette’, etc. » Mais cela a dépassé le cadre scolaire puisqu’elle a été interpellée de manière virulente dans la rue, alors qu’elle était avec sa mère et qu’elle était âgée de 12 ans : « Je me rappelle que la première fois que j’ai été à Paris, il y a un inconnu qui a voulu prendre des photos de mes chevilles et qui a commencé à prendre ma mère à partie comme quoi on était trop maigres, qu’on n’était pas bien nourries ou que j’étais anorexique. On s’est fait agresser quoi, dans la rue. »
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