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« Je ne suis pas son pote » : Catherine Ringer explique son attitude face à Emmanuel Macron

Publié par Jeanne Ferry le 14 Mar 2024 à 16:15

Ce mercredi 13 mars 2024, Catherine Ringer était présente sur le plateau de Télématin. La chanteuse des Rita Mitsouko est revenue sur son attitude face à Emmanuel Macron vendredi 8 mars 2024.

En effet, après avoir chanté la Marseillaise lors de la cérémonie d’inscription du droit à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution, elle a éconduit le Président qui a tenté de lui faire une bise.

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© Capture d’écran TF1

Une cérémonie qui a grandement fait parler

La vidéo du jour

De nombreux regards étaient tournés vers la place de la Concorde vendredi 8 mars 2024. Emmanuel Macron et son gouvernement étaient présents pour une cérémonie très attendue. Elle se déroulait lors de la journée internationale des Droits des femmes et marquée par un grand événement.

En effet, quelques jours auparavant, l’inscription du droit à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution était votée. Le président de la République a donc profité de cette journée pour sceller l’inscription.

En plus de ce moment clef, il a dévoilé plusieurs images de toutes les femmes qui ont marqué l’histoire comme Simone Veil ou encore Gisèle Halimi. Il a ensuite fait appel à Catherine Ringer des Rita Mitsouko pour interpréter la Marseillaise.

Catherine Ringer éconduit Emmanuel Macron

Mais après sa chanson qui a déjà grandement fait parler, c’est son attitude envers Emmanuel Macron qui a fait réagir. Pour cause, il a tenté de lui embrasser la main avant de lui faire la bise, ce qu’elle a refusé.

Elle l’a éconduit d’un geste de l’épaule. Et ce mercredi 13 mars 2024, elle était présente sur le plateau de Télématin pour revenir sur cette situation. Et Catherine Ringer n’a pas mâché ses mots concernant le président de la République.

« Sa bise était mal placée. Pas qu’elle était au mauvais endroit, mais c’était une situation solennelle, (…) quand il m’a dit on se fait la bise, je trouvais que ça n’allait pas que le président me fasse la bise là. Je ne suis pas son pote, lui non plus et je n’aime pas spécialement faire la bise ».

Elle a malgré tout nuancé en expliquant qu’elle avait peut-être eu tort de se retirer aussi vite et qu’elle avait été très honorée d’avoir été invitée.